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Par pungueria le 21 Janvier 2007 à 15:10
Demain, dés l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirais. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irais par la forêt, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherais les yeux fixés sur mes pensées.
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi serra comme la nuit.
Je ne regarderais ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverais, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
3. IX.1847
Victor HUGO
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Par pungueria le 21 Janvier 2007 à 14:58
Mes cicatrices saignent à nouveau
L'amour a saisit ce couteau
Que tu créer pour moi encore une fois
Tu me blesse mais tu n'assume pas...
Repare moi si tu veux bien
Chaque bouts de toi m'on déchiré
Regarde-moi dans ce chagrin
Que tu me laisse sans pitité !
Est-ce la peur du sang
Qui te détourne le regard
De mes blessures tout comme avant
Que le fautif ne veux pas voir !
Est-ce que tu as peur de ce vide
Qu'il reste en moi de ton passage
Mes larmes laissent un corps avide
Dans la colère de ne plus croire...
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Par pungueria le 13 Janvier 2007 à 16:50
C'est parce qu'il faut du temps pour aimer
Qu'il en faut plus encor pour oublier
Parce qu'il faut du temps pour pardonner
On ne peut pas toujours pardonner
Parce qu'il faut du temps pour faire confiance
Il faut du temps en amitié
C'est parce qu'il faut du temps pour le bonheur
Qu'il ne faut pas se perdre à trop aimer
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Par pungueria le 13 Janvier 2007 à 16:34
La finesse de la nuit
tombe en silence sur les âmes troublées
Du jour comme des étoiles
Insupportées de soleil et de drames
Qui seulement la journée
Voient briller dans leurs larmes
Le désespoir d'une vie
Sans raisons et sans charme...
www.saiaii.com
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Par pungueria le 13 Janvier 2007 à 01:21
Assez vu. La vision s'est rencontrée à tous les airs.
Assez eu. Rumeurs des villes, le soir, et au soleil, et toujours.
Assez connu. Les arrêts de la vie.- O Rumeurs et Visions!
Départ dans l'affection et le bruit neuf ?
A. Rimbaud*
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