• Wikileaks, DERNIERES LIVRAISONS, la matière la plus attendue a été révélée ce jeudi à Londres. Les gouvernements occidentaux et leurs industries de surveillance espionnent partout et ont largement servi les dictateurs.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    L’esprit d’entreprise en occident n’a pas d’éthique, avidité du gain oblige. Surtout quand il s’agit de mépriser des peuples et des Etats positionnés dans le camp jugé adverse, on s’en passe de démocratie. Wikileaks vient de mettre en ligne 287 dossiers concernant les surveillances des populations et à leurs têtes les opposants, entre autres ceux du monde arabe, qui subissent depuis des lustres des dictatures et leurs censures. Les Etats-Unis sont en tête de cet espionnage...

    Cette nouvelle offensive de l’équipe de Julian Assange annonce la reprise des publications, après une interruption faute de moyens. Attaqué principalement par les Etats-Unis qui ont vu leurs câbles diplomatiques rendus publics avec leurs contenus ahurissants, Wikikileaks reprend ses services...

    A propos de cette suspension, le journaliste australien a affirmé « Depuis le 7 décembre 2010, un blocus financier arbitraire et illégal a été imposé par Bank of America, Visa, Mastercard, Paypal et Western Union. L’attaque a détruit 95% de nos revenus » . Ces derniers mois Wikileaks a survécu avec des dons, et ses pertes s’évalue à des dizaines de millions de dollars.

    Le responsable de wikileaks, actuellement en résidence surveillée en Grande-Bretagne, est dans l’attente de l’appel formé contre la décision de l’extrader en Suède où il doit répondre d’accusations de viol et d’agressions sexuelles. Inculpation qui semble être le pire des complots contre le journalisme libéré grâce à Internet.

    Son site a été suspendu en octobre dernier faute de fonds. Sortant de cette panne, la première matière mise en ligne sont les documents qui montrent un vaste espionnage par des gouvernements, visant leurs propres citoyens et avec l’appui de l’industrie de 25 pays et 160 entreprises spécialisées dans la surveillance. C’est l’un des grands dossiers attendus depuis que Wikileaks existe et l’avènement de révolutions dans les pays sous dictatures.

    Le fondateur de Wikileaks a, lors d’une conférence tenue le 1er décembre tenue à Londres, divulgué avec une diffusion de 287 dossiers, et d’analyses internes édités sous forme de .pdf, concernant la surveillance et l’interception des télécommunications. Il a fait une démonstration de la manière de ces systèmes qui permettent à des gouvernements de surveiller les individus à travers leurs téléphones mobiles, comptes de messagerie et les traces laissées sur Internet.

    Julian a déclaré : « Nous publions aujourd’hui plus de 287 dossiers montrant la réalité d’une industrie de surveillance à grande échelle - une industrie qui vend aussi bien ses équipements aux démocraties qu’aux dictatures pour espionner des populations entières » . Les américains sont le plus friands dans cet espionnage des citoyens, et aussi à travers le Monde entier.

    Cette action a été partagé avec le site OWNI qui, aux mêmes moments de ce jeudi, à Paris, ce groupe d’informations a dévoilé son partenariat avec WikiLeaks. OWNI a révélé pour sa part près de 1 100 documents provenant d’industriels dont une société française, Amesys, qui a fait affaire avec le régime de l’ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi. Selon OWNI, Les emails de sept opposants libyens en exil, résidant au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis, ont été espionnés dans ces pays, par le système d’interception et de surveillance vendu à la Libye de Kadhafi par Amesys.


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  • Quand Anonymous s’attaquent aux sites israéliens, ils ciblent les plus significatifs.

    Le combat des désarmés n’est pas un terrorisme, quand le Web est champ de bataille. 

    2ème article

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    Lire Le 1er SUJET

    Protestataire à plus d’un titre, car il intervient là où souvent les injustices mobilisent plus les militants malgré leur impuissance face aux forces du mal, le groupe de Hackers Anonymous, le plus connu des pirates informatiques en réseaux, montre une réaction qui dispute l’iniquité. Ce n’est la première de ses belles et judicieuses opérations. Il s’implique dans le combat du peuple palestinien, contre des mensonges et des manipulations que les puissances sèment en une injustice mondiale.

    Voir sur POPULI-SCOOP en ligne : 1er article : Anonymous : une rebelle citoyenneté virtuellement suivie par une jeunesse éprise de liberté et de vérités.

    S’apparentant à une nébuleuse impénétrable et qui fédèrent, au moins virtuellement nombreux adeptes à travers le monde, Anonymous finissent, c’est aussi leur déontologie, par s’impliquer dans les conflits de politique internationale. Si la dénonciation de cartels de drogues, de maffieux systèmes et d’autres corruptions rendent les hackers appréciables, l’opinion mondiale ne cesse de suivre leur interventionnisme.

    L’annonce faite par Anonymous au gouvernement israélien

    Vous pouvez consulter l’annonce, dans notre précédent sujet, faite à un Cartel de drogue mexicain

    Un autre combat qui se joue sur Internet. Où la question du Proche-Orient est le premier des sujets diplomatiques, à écœurer les peuples et à indisposer les puissances qui soutiennent une tyrannie. Au centre de l’insécurité dans le monde, Israël ne jouit pas de bienséante admiration tant au sein des nouvelles rebellions des jeunes indignés, que chez Wikileaks (qui se garde pourtant d’approvisionner la dégradation du sionisme colonisateur) et parmi les Anonymous qui parient à contribuer à l’éclatement des vérités. Dont les droits du peuple palestinien.

    De son internationalisation, le collectif intègre divers intervenants qui adhérents au même sceau « Les Anonymous ». Les services officiels et étatiques qui suivent cet indicateur, tel un label, avec des filatures policières ou sécuritaires très larges et souvent faites de collaboration entre Etats et géants du Web (Google, Microsoft, Twitter etc…), n’arrivent pas à mettre des identités individuelles sur les participants. Le piratage exige la grande discrétion, donc il se veut gagnant à tous les coups, il met en échec les enquêteurs.

    Parmi les gros coups attribués, à Anonymous au début du mois de novembre 2011, La panne qui a fait tomber les sites web de l’armée israélienne, du Mossad et de la sécurité intérieure. D’une part le groupe le plus redouté revendique ces attaques en représailles à l’accueil de la flottille appréhendée une semaine auparavant alors qu’elle tentait de surmonter le blocus de Gaza. Et d’un autre côté, les observateurs ont attribué ces assauts contre l’Etat hébreu qui se livre à une spoliation des palestiniens de leur terre, à Anonymous.

    Plusieurs sites web militaires israéliens étaient indisponibles presque le long de la journée, par personne ne sait quel mystère. Les experts israéliens réfutent avec le gouvernement israélien ont réfuté une action étrangère. Pourtant l’annonce d’Anonymous date de vendredi, 2 jours d’avant. Dans un message posté sur Twitter« Ce n’était pas une cyber-attaque, mais un dysfonctionnement de serveurs  ». Et précisant, dans un email, que la panne provenait des serveurs « Tehila » utilisés par le ministère des Finances. Quel lien entre ces départements ministériels ?

    Et en rajoutant que les sites du bureau du Premier ministre et du ministère des Affaires étrangères n’avaient pas été crashés. La volonté d’amoindrir ici la panne, se veut pour une épuration du cas de Hackers ayant frappé. Ofir Gendelman, porte-parole actuel pour les médias arabes dans le bureau du Premier ministre d’Israël, qui a intervenu à ce sujet n’a pas fourni de détails sur la nature exacte du problème. Seuls certains journauxisraéliens parlent d’un dysfonctionnement dans un composant de stockage.


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  • Anonymous : une rebelle citoyenneté virtuellement suivie par une jeunesse éprise de liberté et de vérités. Anonymous en adversité avec un cartel de drogue, au Mexique avec « L’opération Cartel ».

    -1er article-

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Même en annonçant au préalable leurs points de chutes et les cibles de leurs frappes, les Anonymous restent sans identité, sous un anonymat déroutant ! Leurs différents avatars, celui imagé d’un masque au sourire ironique et leur pseudo, si pathétiques qu’ils le sont s’apparentent à une diablerie mystérieuse que la jeunesse n’en finit pas d’idolâtrer. Ils se déclarent, à travers une agitation sur le Web, comme un collectif de redresseurs de torts…
    Réel phénomène de la piraterie informatique, le fait de se déclarer en Robins des Boisl’immunité lui semble acquise. Du moins chez les Internautes qui adoptent une avidité à une nouvelle culture sociale. Celle qu’Internet crée et les lois tentent d’encadrer.

    Rares sont les acteurs, groupe ou individus, du Web qui peuvent se targuer d’être à la fois non-conformistes et renommés pour engranger nombreux fans tel que Les Anonymous. Rebelles du virtuel, ils participent, à outrance et sans confins, à la naissance d’une forme de permissivité pour la dénonciation virtuelle de nombreuses malversations qui sont officielles mais intolérables pour leur injustice.

    L’équitable est amovible et d’une mobilité qui relève de la philosophie de la vie. Ce juste, tant recherché depuis la nuit des temps, bouge continuellement. Sans ça il est déjà mort ou arbitraire.

    Le groupe disséminé à travers le Monde est loin de se laisser localiser. Certainement labélisant une foultitude de « geeks », comme des cellules actives, de vrais férus de technologie. A la barbe des géants du net qui, impuissants, ne cessent de le traquer. Anonymous annonce ses actions et dès la veille, souvent même quelques jours au préalable. Pour réveiller les paniques et créer des échanges pour les pénétrer. D’où ses impromptues intrusions, dans des méandres secrets que majoritairement les internautes aiment explorer, trouvent d’amples échos.

    Pourtant ses interventions s’attendent aux plus alertes surveillances. Les vigiles de la toile devaient donc mieux guetter les provenances des coups pour les appréhender. Mais face à une démocratie numérique, acquise par la magie d’Internet, la citoyenneté, basée sur l’éducation, s’en passe du tout sécuritaire.

    L’ANNONCE DE L’OPERATION CARTEL

    Wikileaks leur a emboîté le pas, dans une démesure médiatique où les sources de l’information s’échappent en effluves d’arômes magnifiés, après des divulgations en scoops, par la presse classique ayant encore le support papier à vendre. Anonymous se sont solidarisés de cette pratique de Wikileaks, révélant une actualité indigne, qu’Internet délivre des rétentions. Le libertaire politiquement trop plaisant aux populations, montré par à la fois par Anonymous et Wikileaks, est peu bienséante aux yeux des gouvernants. Car ces derniers sont les premiers exposés à travers leurs tares polluées et corruptrices.

    Ce collectif de hackers avait engagé une épreuve de force, dite « L’opération Cartel », contre Los Zetas, un cartel de drogue mexicain. La vérité n’est pas encore établie et est encore débattue dans les réseaux. Elle court la toile comme un prestigieux trophée de pirates officiellement indésirable.

    L’organisation criminelle soupçonnée d’avoir enlevé un hacker, rénent des personnes au sein des institutions mexicaines liées au syndicat criminel. Barrett Brown est dit comme un membre, originaire de Dallas, est très suivi par le FBI pour ses activités sur le Web.

    « L’opération Cartel » était prévue pour le 5 novembre 2011, mais elle a été suspendue car le 3 novembre, un message posté sur le blog Anonymous IberoAmerica expliquait,« en ce jour, notre ami Anonymous retenu par le cartel Zetas a été libéré » et d’ajouter « nous avons pris grand soin de vérifier son identité par des contacts avec ses pairs et des amis et nous pouvons dire que, même s’il a souffert, il est bien vivant » .

    Même criminalisé, le collectif Anonymous restpondant au nom de Barrett Brown, a préféré le libérer devant le risque d’une cyber-attaque massive. Pour cela, les messages reçus par Los Zetas avaient menacé de divulguer des informations (25 000 courriels). Ces derniers montrent et désige un exemple qui fait honneur à une forme de liberté qui gagne sa bonne position dans les moeurs d’Internet.


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  • Google privilégie la qualité et son panda estime la plus-value... Le tournis des référenceurs de sites, les annuaires risquent d’être contournés par la teneur "vitesse et qualité" des pages.

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    En l’honneur d’un animal des plus rares, des plus beaux et des gros dans le monde, Google a modifié la manière de classer les résultats que génère une recherche exprimée sur Internet en utilisant son moteur... Panda dit-il. Et en assume pleinement les normes de qualité qu’il a choisies.

    Que cela déplaise aux référenceurs, mis sur la sellette, sa préférence va aux designers et aux créateurs. Les premiers pour la présentation visible et les seconds pour les efforts qu’ils mettront afin de créer des matières intéressantes… Du moins la philosophie dite "qualité" est claire. Les critères économiques priment cependant avant toutes considérations.

    Les commentaires sur Google Panda sont devenus affligeants, voire médiocres et même insignifiants. Perdants et gagnants, ceux avancés dans les résultats de recherche ou visibles dès les premières lignes et pages et ceux noyés dans les arrières loges du leader des sites traitant le plus grand nombre de requêtes du Web. Sera-t-il utile pour la majorité des ordinateurs, en conséquence d’une mise à jour de son "mode de sélection", c’est-à-dire par les qualifications résultant de l’algorithme modifié…

    En effet un matraquage de commentaires et des plus diffus dans les cercles spécialisés des langages informatiques, a été libéré comme un copier/coller. Les exposés ont commencé dès février, date de lancement aux USA. Panda par-ci et algorithme par-là, se répétaient. Or la méthode de trie préconisée se devine. Google a publié un message clair et totalement contraire et insatisfait de la langue reproduisant à récurrence des contenus déjà galvaudés à propos de son système tant commercial que technique.

    En réaction aux questions que posaient les spécialistes du référencement, Amit Singhal, le chargé des logiciels de Google, a remis en place les anxieux, aller regarder ailleurs et en toute liberté. « Le conseil que nous donnons aux éditeurs est toujours le même : faites le nécessaire pour satisfaire au mieux les internautes qui visitent votre site Web et ne vous préoccupez pas inutilement des algorithmes ou des paramètres utilisés par Google pour le classement. » . Il n’est pas utile d’être savant pour saisir comment les débats sur Google Panda ont été faussés. Ne parachevant que seul le référencement, comme la multiplication des back links, resterait le seul paramètre de recherche, Google a changé ses règles de sélection…

    L’enjeu du classement que fixe Google est au centre des préoccupations des webmasters, avant les référenceurs. L’optimisation basée sur une orientation technique des moteurs de recherche pour qu’ils pointent sur un site donné, n’est plus fondamentale. Se construire une renommé avec les référencements dits naturels, et autres méthodes déjà éprouvées que la technologie peut dépasser, est presque secondaire à bien lire les commentaires de cet expert de Google.

    Les prestataires en référencement qui bossent plus sur l’inscription de leurs clients dans des annuaires, souvent créés de toutes pièces et dupliqués à dessein de faire croire aux propriétaires des sites, un bon référencement. Et à qui, ils assurent des liens augmentant la page rank, cette formule est comme désuète. Loin s’en faut, ces référenceurs aussi professionnels qu’ils peuvent l’être, ils ne sont point responsables et encore moins créateurs des contenus ainsi que des designs.

    Google opte à considérer davantage, ce qu’il désigne par « article », la qualité de la page émise sur le Web. Et cette notion de qualité, qui prend en compte l’utilité ainsi les facultés de ce que renferme la page, est indiquée comme principe majeur à l’appréciation de Google. La beauté, la perfection et l’intérêt de l’article...

    Un moteur de recherche, qui dirige l’internaute ayant lancé le navigateur Web de sa machine, reste un outil qui se charge de relayer ce qui est diffusé sur Internet. La machinerie du propriétaire du moteur, on ne peut s’imaginer autre interprétation, est conçue et déployée selon les normes que fixe son créateur, son dieu et son maître ! Libre à l’internaute d’aller voire ailleurs, d’ouvrir un autre moteur qui sélectionne autrement et selon d’autres critères.

    Comme pour la préférence prééminente, du choix du navigateur par l’usager, dès là l’objectif est dûment et préalablement fixé par l’internaute lui-même. Le navigateurGoogle Chrome a donné ses preuves et est 3ème, en 2011, de ceux utilisés. Ses ancêtres "Firefox et Mozilla" n’ont qu’à bien se tenir. Et ils s’exécutent en adoptant continuellement des évolutions. Celui venu de la culture Microsoft, IE –Internet Explorer a frappé avec sa dernière version, en gagnant de la vitesse avec son nouveau IE9. Il est donc tout à fait normal que Google privilégie des caractéristiques soumises et conformes à ses intérêts. Ce droit d’entreprendre son offre, d’ailleurs gratuite, est incontestable pour Google ou pas Google.

    « Vous avez été nombreux à nous demander ce que vous pouviez faire pour améliorer votre classement sur Google, en particulier suite au lancement de Panda. Nous vous conseillons de garder dans un coin de votre esprit les questions ci-dessus et de faire de votre mieux pour proposer un contenu de qualité, plutôt que d’essayer d’optimiser ce dernier pour les algorithmes de Google. »

    Ici Google insiste de ne pas mettre en erreur les algorithmes. En optimisant son site et en disposant d’une respectable Page Rank, car élevée en nombre de liens retour, ne suffit pas d’avoir pour être en haut du podium. Des pages visibles et avancées à portée de tous dans leur diffusion exigent de la qualité, voire aussi de l’importance.

    Qualitativement bien présentées en design et en contenu, les articles les mieux appréciés seront repérés par l’algorithme : est-ce une magie ?

    La promesse est faite, mais l’expérience en déterminera si Bing, le moteur de recherche de Microsoft qui lui convoite le podium, fera autrement du point de vue Business d’abord...


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  • Réseautage et socialisation du Web, Google rajoute un plus. L’innovation du partage, des resautés, progresse selon des propriétés de particularisation.

    La toile foisonne d’une appétence effrénée pour les réseaux sociaux. Un mouvement où les humains s’impliquent et fécondent une nouvelle relation humaine, à la hauteur d’une vitesse que le Net prescrit.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Cette dernière tendance intéresse Google, après que le trésor Facebook, avec nombreux insatisfaits, en a inspiré une bonne part de la philosophie fonctionnelle. Mais Mark Zuckerber et son équipe finissent par croiser un potentiel et non des moindres concurrents. Des projets, par ailleurs, plus particularisés se sont déployés... Twitter, Linkedin, Fousquare...

    Chacun y va de sa proposition d’unir des inscrits en quête d’une socialisation à la fois intellectuelle et économique. Arrive donc le géant américain qui a bâti un empire à partir du moteur de recherche après avoir exploré tous les méandres d’internet grand-public.

    Google s’est largement distingué, avec la seconde moitié de la 1ère décennie du nouveau millénaire, avec des affaires qui se sont avéré toutes reluisantes, les unes que les autres. Dernier en date en date est la bibliothèque en ligne, le téléphone G-phone et le navigateur Google-Chrome.

    G+ fonctionnement.

    Même fixé au plan de l’écran, une abondance d’échanges s’opère entre les êtres au moyen du magnifique signal, magique pour les friands, nommé Internet. Les réseaux se consolident, cette analyse explique leur évolution. Les réseaux sociaux sont partout et l’engouement pour ce genre de site impressionne plus d’un observateur du Web. Dernier en date des arrivés sur le champ du tissage virtuel d’amis, de contacts et de partenaires, Google+ des plus inévitables sites qui ne cesse de diversifier ses investissements et ses réalisations.

    Google+ a été lancé le 29 juin, avec un accès limité. Il a été restreint aux premiers membres qui pouvaient inviter d’autres, et ces invitations étaient restreintes à 150 contacts. Question de mettre cette plateforme en rodage, permettre sa détection sur la toile pour en recueillir des avis et le mouliner à une préliminaire expérimentation de quelques jours. Le cap des 10 millions de membres a été officiellement franchi le 14 juillet 2011, après tout juste 2 semaines comme le montre le graphique ci-après.

    Nous disposons chez POPULI-SCOOP, 150 invitations pour Google Plus CLIQUER pour être invité, ATTENTION seulement les 150 premiers.

    L’heure d’une socialisation des internautes bat son plein, ils réagissent désormais avec des échanges établis par les individus mis en relation. Après avoir été plus passifs parce que la technologie, elle-même ne maîtrisait pas encore une interactivité poussée, les usagers du Web répercutent leurs avis en choisissant les contenus en rapport avec leurs préoccupations.

    Les sites, depuis les années 90 du siècle dernier et ceux de la première décennie du nouveau, n’ont pas cessé de puiser dans l’imagination de leurs créateurs pour offrir des solutions à des avidités inspirées d’une nouvelle culture. Et la stimulation des innovations est restée, telle qu’elle fut depuis la nuit des temps, impulsée par l’économie.

    L’humanité retrouve donc une collectivisation qui s’en passe de la mitoyenneté géographique, car ça se passe sur écran qui a vocation de transférer des opinions d’abord. Et l’internaute, intéressé par sa propre réussite et concevant son espace ou profil, exprime ce qu’il pense être lisible, attirant et utile à autrui. Transférant dans une réciprocité des idées assimilées à son niveau et visant toute la société où cet autre est son contact ou désire avoir parmi ses relations.

    Ce lien aux prochains, quoique que pensent les sociologues de la communication, est bien réel. Maintenant que le virtuel arrive à changer le monde arabe, à mener et suivre des idées et défendre des principes de toutes natures, les enjeux se dessinent !

    Dans la fièvre du partage pleinement ouvert, un processus de socialisation. Le service Google+ consiste à se connecter aux gens et de gérer des groupes d’amis dans des cercles. Il a gagné environ 25 millions d’utilisateurs dans le monde entier en moins d’un mois, les estimations du marché chercheur ComScore Inc (SCOR), alors Facebook a plus de 750 millions d’utilisateurs actifs.

    Internet ne cesse d’apporter aux entreprises et aux humains des prouesses qu’aucun ne doute sur leurs bienfaits.

    Mais la question des différences culturelles, au niveau des terriens, laisse la porte ouverte aux innovations. De la relativité à la vision occidentale, sinon exclusivement nord-américaine, les crises ne cessent de secouer l’ancien monde. Car ce qui peut prévaloir à Washington ou Londres, ou bien Paris, prime-t-il partout ailleurs sur la planète ?

    Surtout que l’ancien système mondial, notamment économique, est de plus en plus contesté, comme civilisation dominatrice !


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