• Le Printemps Arabe dont ne parlent pas les médias et politiques occidentaux. La nécessaire révolution contre les monarchies qui dominent des millions de personnes et leurs familles qui s’accaparent les richesses...

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    D’abord les royaumes sont pléthoriques dans le monde arabe. Et si une révolution, digne de ce mot, peut être encore rêvée, elle doit remettre en cause les familles, ridiculement limitées à quelques milliers de personnes, qui règnent par on ne sait quelle légitimité sur des millions d’êtres. Tout en monopolisant l’accaparement des richesses. Ces indécents régimes laissent dans la misère des populations majoritaires, comme des sujets soumis le plus souvent aux pires esclavages.

    Le traitement du Printemps Arabe par les médias et responsables politiques occidentaux ne peut échapper aux géostratégies, les leurs, classiques de domination. Les difficultés des révolutionnaires, détenteurs de projets sociétaux sincèrement inspirés à générer une citoyenneté motivée pour gagner progrès et égalité, sont multiples. Affronter les arsenaux détenus par les dictatures, en est la première.

    Elle les a poussés à souscrire à l’acceptation des aides étrangères… Et lesquelles ? Uniquement celles ayant des objectifs, comme le dit franchement un certain BHL et pourson cas : Israël.

    Amputations en Arabie saoudite : les MOIS OCTOBRE et NOVEMBRE 2011 en Arabie Saoudite

    Ces soutiens plongent favorablement, avec des réflexes de néocolonialisme évident, sur l’occasion de remonter sur les fronts. Pour instaurer davantage leur prépondérance sur l’avenir des peuples avides de libertés démocratiques. Mais très sélectifs, ces aides apportées aux désarmés qui allaient subir des massacres, les pays occidentaux leurs refusent les soutiens conséquents. Dont ceux destinés aux révoltés des monarchies les plus réactionnaires que l’Arabie Saoudite préside. A Bahreïn c’est même l’armé des Ibn-Saoud qui s’adonne aux crimes de mater les insurgés.

    UN AUTRE VISAGE DE l’ARABIE SAOUDITE

    Au sein de cette monarchie gardienne de la Mecque, les droits de la population sont carrément inexistants. Mais on fait semblant de l’ignorer, personnes n’en parlent aussi bien des politiques que des médias internationaux. Peut-être rarement, comme pour la conductrice d’une voiture à Djeddah. Cependant les séditions que quotidiennement mène la jeunesse, on ignore donc les pires crimes commis par les rois et leurs familles qui s’accaparent goulument et sans partage les richesses.

    Le mouvement saoudien des Jeunes libres, a annoncé dans un communiqué le lundi, 22 novembre, « le début du soulèvement populaire contre le régime des Al-Saoud dans l’ensemble du pays » . Une coalition très décidée a appelé à « une large participation lors des funérailles du jeune Nasser » . Le jeune homme, Nasser Mahichi est le premier martyr à tomber avec le début des manifestations, organisées par ce mouvement dans la ville de Qatif. Et qu’a réprimées sévèrement le régime des prédateurs saoudiens. Ce décès est considéré annonciateur du soulèvement.

    LE PARADIS DES PEDOPHYLES : L’Arabie Saoudite

    Un des militants, connu sous le nom d’Ali Hassa, a déclaré que la cause de la mort de Nasser Mahichi est sa solidarité avec le peuple du Bahreïn. Le quartier Amara, où habite le décédé a témoigné d’un rassemblement populaire devant le domicile de la famille. C’est l’un des rares cas divulgué, et uniquement par des blogueurs.

    Une femme de chambre, comme Nafissaou Diallo, et tous les pauvres.

    En réalité quatre manifestants, qui participaient à des manifestations de chiites, minoritaires en Arabie saoudite à Qatif, dans l’est du pays, ont été abattus. L’annonce a été faite jeudi par le ministère de l’Intérieur. Et le communiqué rapporte neuf personne dont une femme ont été blessées. Le ministère ne précise pas qui a tiré, alors les forces de sécurité ont affronté, uniquement cette ville, les manifestants.

    Le porte-parole du ministère, le général Mansour Al-Turki, a insisté lors de sa conférence de presse à Riyad que les autorités devaient répondre avec fermeté à ceux qu’il a qualifiés « d’émeutiers et éléments engagés » , afin de rétablir la sécurité.


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  • Quand Anonymous s’attaquent aux sites israéliens, ils ciblent les plus significatifs.

    Le combat des désarmés n’est pas un terrorisme, quand le Web est champ de bataille. 

    2ème article

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Lire Le 1er SUJET

    Protestataire à plus d’un titre, car il intervient là où souvent les injustices mobilisent plus les militants malgré leur impuissance face aux forces du mal, le groupe de Hackers Anonymous, le plus connu des pirates informatiques en réseaux, montre une réaction qui dispute l’iniquité. Ce n’est la première de ses belles et judicieuses opérations. Il s’implique dans le combat du peuple palestinien, contre des mensonges et des manipulations que les puissances sèment en une injustice mondiale.

    Voir sur POPULI-SCOOP en ligne : 1er article : Anonymous : une rebelle citoyenneté virtuellement suivie par une jeunesse éprise de liberté et de vérités.

    S’apparentant à une nébuleuse impénétrable et qui fédèrent, au moins virtuellement nombreux adeptes à travers le monde, Anonymous finissent, c’est aussi leur déontologie, par s’impliquer dans les conflits de politique internationale. Si la dénonciation de cartels de drogues, de maffieux systèmes et d’autres corruptions rendent les hackers appréciables, l’opinion mondiale ne cesse de suivre leur interventionnisme.

    L’annonce faite par Anonymous au gouvernement israélien

    Vous pouvez consulter l’annonce, dans notre précédent sujet, faite à un Cartel de drogue mexicain

    Un autre combat qui se joue sur Internet. Où la question du Proche-Orient est le premier des sujets diplomatiques, à écœurer les peuples et à indisposer les puissances qui soutiennent une tyrannie. Au centre de l’insécurité dans le monde, Israël ne jouit pas de bienséante admiration tant au sein des nouvelles rebellions des jeunes indignés, que chez Wikileaks (qui se garde pourtant d’approvisionner la dégradation du sionisme colonisateur) et parmi les Anonymous qui parient à contribuer à l’éclatement des vérités. Dont les droits du peuple palestinien.

    De son internationalisation, le collectif intègre divers intervenants qui adhérents au même sceau « Les Anonymous ». Les services officiels et étatiques qui suivent cet indicateur, tel un label, avec des filatures policières ou sécuritaires très larges et souvent faites de collaboration entre Etats et géants du Web (Google, Microsoft, Twitter etc…), n’arrivent pas à mettre des identités individuelles sur les participants. Le piratage exige la grande discrétion, donc il se veut gagnant à tous les coups, il met en échec les enquêteurs.

    Parmi les gros coups attribués, à Anonymous au début du mois de novembre 2011, La panne qui a fait tomber les sites web de l’armée israélienne, du Mossad et de la sécurité intérieure. D’une part le groupe le plus redouté revendique ces attaques en représailles à l’accueil de la flottille appréhendée une semaine auparavant alors qu’elle tentait de surmonter le blocus de Gaza. Et d’un autre côté, les observateurs ont attribué ces assauts contre l’Etat hébreu qui se livre à une spoliation des palestiniens de leur terre, à Anonymous.

    Plusieurs sites web militaires israéliens étaient indisponibles presque le long de la journée, par personne ne sait quel mystère. Les experts israéliens réfutent avec le gouvernement israélien ont réfuté une action étrangère. Pourtant l’annonce d’Anonymous date de vendredi, 2 jours d’avant. Dans un message posté sur Twitter« Ce n’était pas une cyber-attaque, mais un dysfonctionnement de serveurs  ». Et précisant, dans un email, que la panne provenait des serveurs « Tehila » utilisés par le ministère des Finances. Quel lien entre ces départements ministériels ?

    Et en rajoutant que les sites du bureau du Premier ministre et du ministère des Affaires étrangères n’avaient pas été crashés. La volonté d’amoindrir ici la panne, se veut pour une épuration du cas de Hackers ayant frappé. Ofir Gendelman, porte-parole actuel pour les médias arabes dans le bureau du Premier ministre d’Israël, qui a intervenu à ce sujet n’a pas fourni de détails sur la nature exacte du problème. Seuls certains journauxisraéliens parlent d’un dysfonctionnement dans un composant de stockage.


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  • Anonymous : une rebelle citoyenneté virtuellement suivie par une jeunesse éprise de liberté et de vérités. Anonymous en adversité avec un cartel de drogue, au Mexique avec « L’opération Cartel ».

    -1er article-

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Même en annonçant au préalable leurs points de chutes et les cibles de leurs frappes, les Anonymous restent sans identité, sous un anonymat déroutant ! Leurs différents avatars, celui imagé d’un masque au sourire ironique et leur pseudo, si pathétiques qu’ils le sont s’apparentent à une diablerie mystérieuse que la jeunesse n’en finit pas d’idolâtrer. Ils se déclarent, à travers une agitation sur le Web, comme un collectif de redresseurs de torts…
    Réel phénomène de la piraterie informatique, le fait de se déclarer en Robins des Boisl’immunité lui semble acquise. Du moins chez les Internautes qui adoptent une avidité à une nouvelle culture sociale. Celle qu’Internet crée et les lois tentent d’encadrer.

    Rares sont les acteurs, groupe ou individus, du Web qui peuvent se targuer d’être à la fois non-conformistes et renommés pour engranger nombreux fans tel que Les Anonymous. Rebelles du virtuel, ils participent, à outrance et sans confins, à la naissance d’une forme de permissivité pour la dénonciation virtuelle de nombreuses malversations qui sont officielles mais intolérables pour leur injustice.

    L’équitable est amovible et d’une mobilité qui relève de la philosophie de la vie. Ce juste, tant recherché depuis la nuit des temps, bouge continuellement. Sans ça il est déjà mort ou arbitraire.

    Le groupe disséminé à travers le Monde est loin de se laisser localiser. Certainement labélisant une foultitude de « geeks », comme des cellules actives, de vrais férus de technologie. A la barbe des géants du net qui, impuissants, ne cessent de le traquer. Anonymous annonce ses actions et dès la veille, souvent même quelques jours au préalable. Pour réveiller les paniques et créer des échanges pour les pénétrer. D’où ses impromptues intrusions, dans des méandres secrets que majoritairement les internautes aiment explorer, trouvent d’amples échos.

    Pourtant ses interventions s’attendent aux plus alertes surveillances. Les vigiles de la toile devaient donc mieux guetter les provenances des coups pour les appréhender. Mais face à une démocratie numérique, acquise par la magie d’Internet, la citoyenneté, basée sur l’éducation, s’en passe du tout sécuritaire.

    L’ANNONCE DE L’OPERATION CARTEL

    Wikileaks leur a emboîté le pas, dans une démesure médiatique où les sources de l’information s’échappent en effluves d’arômes magnifiés, après des divulgations en scoops, par la presse classique ayant encore le support papier à vendre. Anonymous se sont solidarisés de cette pratique de Wikileaks, révélant une actualité indigne, qu’Internet délivre des rétentions. Le libertaire politiquement trop plaisant aux populations, montré par à la fois par Anonymous et Wikileaks, est peu bienséante aux yeux des gouvernants. Car ces derniers sont les premiers exposés à travers leurs tares polluées et corruptrices.

    Ce collectif de hackers avait engagé une épreuve de force, dite « L’opération Cartel », contre Los Zetas, un cartel de drogue mexicain. La vérité n’est pas encore établie et est encore débattue dans les réseaux. Elle court la toile comme un prestigieux trophée de pirates officiellement indésirable.

    L’organisation criminelle soupçonnée d’avoir enlevé un hacker, rénent des personnes au sein des institutions mexicaines liées au syndicat criminel. Barrett Brown est dit comme un membre, originaire de Dallas, est très suivi par le FBI pour ses activités sur le Web.

    « L’opération Cartel » était prévue pour le 5 novembre 2011, mais elle a été suspendue car le 3 novembre, un message posté sur le blog Anonymous IberoAmerica expliquait,« en ce jour, notre ami Anonymous retenu par le cartel Zetas a été libéré » et d’ajouter « nous avons pris grand soin de vérifier son identité par des contacts avec ses pairs et des amis et nous pouvons dire que, même s’il a souffert, il est bien vivant » .

    Même criminalisé, le collectif Anonymous restpondant au nom de Barrett Brown, a préféré le libérer devant le risque d’une cyber-attaque massive. Pour cela, les messages reçus par Los Zetas avaient menacé de divulguer des informations (25 000 courriels). Ces derniers montrent et désige un exemple qui fait honneur à une forme de liberté qui gagne sa bonne position dans les moeurs d’Internet.


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