Ah, Paris et ses histoires d’amour, il faut suivre ! Un jour, c’est blanc, l’autre c’est noir, et, aujourd’hui plus personne ne s’y retrouve plus ! Elle vient à peine de se séparer du beau Stavros Niarchos que la revoilà dans les bras de Paris Latsis. Eh oui, ils remettent ça ! Difficile à croire quand on sait le comportement exécrable des parents du grec avec le blonde américaine. Non, non, non, ils n’en voulaient pas !!! Eh bien, dommage pour eux car leur pire cauchemar est de retour… Les deux tourtereaux ont été aperçus dans un bar branché de Los Angeles, et, selon un témoin « On aurait dit qu’ils avaient beaucoup de temps à rattraper, ils étaient très proches l’un de l’autre." Humhum … voilà une histoire à suivre de très près !!!

Kevin Costner connaît actuellement une période difficile. Il vient d'être accusé de harcèlement et d'attouchements sexuels par une masseuse de l'hôtel le « Old Course Hotel Saint Andrew Golf Ressort & Spa » en Ecosse. Oh, my god ! La jeune femme, Alexandrina Smith, âgée de 34 ans prétend avoir été abusé sexuellement par l'acteur, mais vous ne savez pas le pire car il y a pire !!! En effet, les faits se sont passés à une période bien particulière : juste après le mariage de Kevin avec Christne Baumgartner c'est à dire pendant sa lune de miel !!! Ça fait beaucoup pour un seul homme, non ?

WASHINGTON (AFP) - Le styliste de mode américain Oleg Cassini, qui avait atteint la célébrité en devenant le couturier de stars d'Hollywood, est décédé vendredi à l'âge de 92 ans, a annoncé la chaîne américaine d'information en continu CNN.
Né à Paris en 1913, Oleg Cassidi avait notamment habillé des vedettes de cinéma comme Natalie Wood, Grace Kelly, Marilyn Monroe et Gene Tierney, qui devait devenir sa femme.

Fondateur du style "camelot", il est devenu en 1960 le couturier officiel de Jacqueline Kennedy.
Oleg Cassini créa plus de 100 robes lors de la première année de l'administration Kennedy et 300 par la suite, faisant de la First Lady une des femmes les plus élégantes de Washington.

Il travailla de près avec elle sur son style, complétant ses robes et vestes avec chapeaux, fourrures, gants, chaussures et sacs à main.

"Je ne m'étais pas contenté de faire une sélection dans ma collection, j'avais créé pour elle un concept", a raconté plus tard le styliste.

"Je lui parlais comme à une vedette de cinéma, en lui disant qu'elle avait besoin d'une histoire, d'un scénario en tant que première dame", avec pour ambition de donner le ton de la mode plutôt que de la suivre, a-t-il encore expliqué.

M. Cassini était né sous le nom d'Oleg Loiewski en 1913 dans une famille de l'aristocratie russe, de l'union de la comtesse Marguerite Cassini et du comte Alexander Loiewski.

Son grand-père, le comte Arthur Cassini, fut l'ambassadeur aux Etats-Unis de l'empire russe durant les administrations de William McKinley et de Theodore Roosevelt.

Il avait été élevé en Italie, où il fréquenta une école catholique anglaise puis l'académie des Beaux Arts.

Oleg Cassini commença sa carrière dans le vêtement en 1933 dans la boutique de sa mère, avant de voler de ses propres ailes en ouvrant la même année sa propre enseigne à Rome.

En 1936, il s'installa à New York, en commençant à dessiner des vêtements pour plusieurs magasins de luxe.

Quatre ans plus tard, il partit travailler à Hollywood pour les studios de la 20th Century Fox, où il rencontra et épousa plus tard l'actrice Gene Tierney, en dessinant au passage les vêtements pour sept de ses films.

Ils divorcèrent en 1952, mais Cassini continua sa carrière hollywoodienne jusqu'à la fin des années 60.

Il fit à nouveau la une des gazettes mondaines lorsqu'il poursuivit de ses assiduités Grace Kelly au début des années 50. Cette dernière le rejeta pour le Prince Rainier de Monaco, qu'elle épousa.

Pendant la deuxième guerre mondiale, le couturier servit sous les drapeaux américains avant de rentrer à New York ouvrir sa propre maison. Il continua son travail à New York pendant plusieurs décennies, tout en collaborant avec des compagnies de théâtre et de chaînes de télévision.

LONDRES (AP) - Après trois semaines de procès à Londres, Dan Brown, qui est poursuivi par deux auteurs estimant avoir été plagiés dans le "Da Vinci Code", devrait bientôt être fixé sur son sort.

Michael Baigent et Richard Leigh ont porté plainte contre la maison d'édition de Dan Brown, Random House, pour violation de droits d'auteurs. Ils affirment que le "Da Vinci Code" s'est "approprié l'architecture" de leur essai "The Holy Blood and the Holy Grail" paru en 1982. Leurs avocats doivent commencer à présenter lundi leurs dernières plaidoiries.

Dan Brown, l'auteur de ce best-seller mondial, juge "complètement fantaisiste" l'accusation de plagiat.

Le thriller de Dan Brown s'appuie en effet sur la même théorie développée par Michael Baigent et Richard Leigh d'une union entre Jésus et Marie-Madeleine, qui aurait donné au Christ une descendance, que l'Eglise se serait efforcée de dissimuler.

Si les deux hommes obtiennent gain de cause, ils pourraient retarder la sortie du film le "Da Vinci Code" avec Tom Hanks et Audrey Tautou, qui est prévue le 19 mai. Sony Pictures affirme toutefois que le film devrait sortir quoi qu'il arrive à la date prévue. AP

BRUXELLES (AFP) - Une brebis d'une exploitation belge du Limbourg (nord-est) a donné naissance, dans la nuit de vendredi à samedi, à un agneau doté de six pattes, a rapporté l'agence Belga.
La naissance de cet animal peu ordinaire donne à Maurice Peeters, éleveur amateur à Meeuwen-Gruitrode, un surcroît non négligeable de travail: le petit animal est en effet incapable de se déplacer de manière autonome et de s'approcher de sa mère, contraignant l'éleveur à le nourrir au biberon.

Au moment de la naissance, Maurice Peeters avait constaté l'apparition quasi-simultanée de quatre pattes et en avait d'abord déduit que la brebis donnerait naissance à deux agneaux.

Par mesure de sécurité, il a dès lors appelé un vétérinaire. Tous deux ont alors constaté, au moment de la naissance, que l'agneau attendu était bien seul, mais doté de quatre pattes avant et de deux pattes arrière.

Si l'agneau aux six pattes survit plus d'une semaine, le vétérinaire examinera la possibilité d'amputer les deux pattes "superflues", afin que l'animal puisse mener une existence normale.