• Ma relation avec Maria avait débuté normalement. Nous étions sortis
    ensemble longtemps avant d'avoir des relations sexuelles. Maria était issue
    d'une famille d'origine mexicaine. Elle était extrêmement belle, avec de
    longs cheveux noirs, des yeux noirs, mutins. Elle était fine, et plus
    grande que moi d'environ 10 cm. Je ne suis pas athlétique et Maria était,
    naturellement plus forte et puissante que moi.


    Lorsque nous fûmes intimes, Maria dévoila son coté autoritaire au lit et
    son coté insatiable. Elle n'en avait jamais assez. Dès que nous rentrions
    chez elle, elle me déshabillait et commençait à caresser mon sexe de 12 cm.
    Elle s'appropriait mes couilles, les malaxant et les étirant. Puis elle
    enfouissait ma tête entre ses jambes, seule manière pour moi de la
    satisfaire. Elle s'agrippait à mes cheveux, et souvent elle me demandait de
    mieux m'y prendre et d'y mettre plus d'entrain.


    Nous, nous allongions ensuite sur le lit, et là elle devenait vraiment
    agressive.

    Je veux plus de sexe ! Se lamentait-elle, et elle saisissait mes bourses.

    Elle tirait sur mon gland, agrippait mes couilles et faisait rouler entre
    ses doigts mes testicules, les écrasant, sans pitié, jusqu'à ce que je crie
    de douleur.


    Un soir, je saisis son poignet pour qu'elle arrête de me faire mal. Elle
    bondit alors sur moi, saisissant ma verge, et commença à lutter avec moi.
    Je me prêtais au jeu, et après m'avoir immobilisé facilement, elle commença
    à claquer mes couilles avec la paume de sa main. Elle me laissa reprendre
    mon souffle, j'étais irrité, et je lui écrasais sa magnifique poitrine. Son
    sourire dominateur disparu et elle m'envoya un terrible coup de genou dans
    mes noisettes. Je criais, tentant de lui échapper et roulé en boule dans un
    coin du lit, évitant de lui montrer les larmes qui coulaient sur mon
    visage. Elle bondit sur moi et vint placer son sexe sur ma bouche en
    m'insultant.

    Leche, puisqu'il n'y a que cela que tu saches faire !


    Nous luttions régulièrement, après que je n'ai pu la satisfaire
    sexuellement. J'évitais de toucher à ses seins pour ne pas la contrarier,
    par peur de sa force et des sévices qui serait, immanquablement, survenu.


    A présent, à chaque combat, elle s'emparait des mes testicules, qu'elle
    écrasait méticuleusement jusqu'à ce que je l'implore d'arrêter. Elle avait
    pour habitude de tenir fermement mes couilles, et de frapper de son autre
    main, poing fermé, ma virilité ainsi offerte à sa fureur. Elle adorait me
    faire pleurer, ce qui la faisait toujours rire et elle me sortait des
    remarques désobligeantes du style, petite bite, micro pénis, noisettes de
    bébé, impuissant ou couilles molles.

    Tu n'es pas un vrai homme, Mark, alors qu'elle me conduisait, un jour,
    vers la douche en tirant sur mes bourses.

    Sa main soupesait mes couilles,

    Tu es monté comme une petite souris. C'est les plus petites couilles que je
    n'ai jamais vues. Comment espères-tu me satisfaire avec ça ?

    Elle continuait à malaxer mon sexe, je me laissais faire, résigné. Elle me
    dit qu'elle avait envie de me castrer. Je souriais, bêtement, sans
    comprendre qu'elle ne plaisantait pas.


    Le lendemain, tandis que ma langue s'activer entre ses cuisses, elle me
    dit :

    Tu sais j'ai déjà castré un homme, avant toi !

    Je la regardais, surpris de voir un sourire sadique sur son visage.

    Tu mens, dis-je avec une boule d'angoisse dans la gorge.

    Couches toi sur le dos ! Ordonna-t-elle avant de disparaître dans la
    cuisine.

    En revenant, elle arborait un large sourire, si belle nue, elle était
    rayonnante. Elle se plaçât sur le haut de mon corps nu, ses énormes seins
    écrasant ma poitrine. Elle posa ses lèvres sur les miennes et m'embrassa. .
    Puis elle me força à ouvrir la bouche. Elle me montra deux boules, qu'elle
    introduisit dans ma bouche.

    Et ce que tu as dans ta bouche, c'est quoi ? Les testicules de
    Jonathan ! ! ! !

    J'eus un haut le corps, imaginant Jonathan se promener dans la rue, brisé
    et privé de sa virilité. J'étais, à présent, totalement horrifié.

    Elles sont plus grosses que les tiennes, n'est-ce pas.

    J'acquiesçais de la tête, passant ma langue sur les deux grosses boules,
    sachant qu'elle avait raison. Je pleurais. Je sentis l'une de ses mains
    s'emparer de mes couilles.

    Je m'ennuyais avec Jonathan, il avait une grosse queue, mais il était
    incompétent, sa langue ne savait pas me satisfaire. Alors je l'ai quitté,
    il m'a laissé ses testicules en souvenir !

    Elle serra fermement mes couilles, et je sentis mon corps se raidir.

    Tu es bien tendre, ma femmelette chérie.

    Une seule de ses mains suffisait à contenir totalement mes couilles. Elle
    se leva et se dirigea vers la salle de bain. Lorsqu'elle revint, elle
    portait un énorme gode ceinture. A coté, mon sexe paraissait minuscule.
    Elle me fit mettre à quatre pattes et s'agenouilla derrière moi. Elle
    saisit l'un des testicules dans ma bouche, elle rigolait. Je sentis l'un de
    ses doigts dilater mon anus, et plonger dans mon fondement. D'abord un
    doigt, puis deux, puis trois forcèrent le passage. Ensuite, je sentis
    qu'elle introduisait dans mon cul le testicule de Jonathan, elle le poussa
    le plus loin possible avec ses doigts puis introduisit le gode qui poussa
    encore plus loin la boule. Elle faisait cela sans se souciait de ma
    douleur. J'etais certain que mon rectum devait saigner. Je retenais mes
    cris.

    Pauvre garçon, essaie au moins une fois de te comporter en homme. Mais tu
    préfères, j'en suis sure être ma femelle.

    Elle poursuivait son va et vient avec acharnement, violemment, mais avec
    facilité, elle agrippa mes noisettes.

    Comment veux-tu être un homme avec ça, dit-elle méchamment. Ni une jeune
    fille, ni même ma grand-mère, n'en voudrait. Tu es incapable de satisfaire
    une femme !

    Elle serra violemment mes couilles, je ressentis la douleur jusque dans ma
    poitrine. Je criais, et expulsais le testicule de ma bouche, qui roula à
    deux mètres de nous. Je l'implorais d'arrêter le massacre. Elle cessa de me
    ramoner, en rigolant, et me retourna m'invitant à m'asseoir. Elle vint
    s'asseoir sur mes cuisses, pointant son pénis artificiel vers mon sexe
    flasque, si petit. Je sentais le testicule de Jonathan au plus profond de
    moi. Ses seins caressaient ma poitrine, elle se releva et disparu à nouveau
    à la salle de bain. Elle revint avec un gant de toilette, chaud et humide,
    elle nettoya mes couilles, gentiment, avec amour. Cela me fit le plus grand
    bien, et je commençais à avoir une érection sous l'action du massage de sa
    main.

    Ma petite bite qui ne grandira jamais, ma si petite bite de souris...

    Elle decallota mon gland, se pencha et déposa un petit baiser sur le bout.
    Sa main serra tendrement mes couilles, elle passa un doigt sur mon anus.
    Mon sexe était dur. J'étais sa chose sexuelle, sa prochaine victime. Je ne
    pouvais, ni ne voulais, résister.

    Regarde, Mark.

    Je relevais la tête, Maria brandissait une grosse paire de ciseau.

    Je vais t'émasculer, mon chéri ! Dit-elle d'un ton froid et dur.

    Non, Maria, l'implorais-je, NON ! S'il te plait, S'il te plait, S'il te
    plait...

    Elle brandit les ciseaux devant mon visage et les referma brusquement. Elle
    le fit plusieurs fois, éclatant de rire en voyant mon visage horrifié.

    Ce soir, tu vas cesser d'être un homme, Mark ! Clip, clip ! Plus de
    testicules, plus d'homme !

    Elle posa les ciseaux sur mes lèvres.

    Embrasse-les, ordonna-t-elle.

    J'obéissais aussitôt, espérant sa clémence. Elle n'avait aucune pitié. Elle
    descendit les ciseaux, son autre main serrait fortement mes bourses, les
    tirant le plus possible en avant. Je gémissais, me laissant faire, résigné.
    Maria le savait.

    Tu m'adoreras pour toujours, Mark, comme celle qui t'a émasculé, celle qui
    t'a castré, celle qui ne veut plus que tu sois un homme ! Regarde Mark !

    Elle posa les ciseaux sur mes bourses, enfonçant les pointes dans chaque
    testicule, les blessant. Elle redressa mon pénis qui la gênait, et nota
    qu'il était toujours en érection.

    S'il te plait, Maria...

    Quoi, Mark ? Tu as envie d'être castré, ta petite queue parle pour toi. Tu
    n'as plus besoin des tes couilles, tu n'as jamais su t'en servir, et il me
    restera ta langue, pour MON plaisir. Et puis tes couilles te font du mal,
    non ?

    Non, dis bêtement.

    Non ? Que dis-tu de cela ?

    Elle posa les ciseaux, et d'un coup de poing parfait, elle frappa mes
    testicules. Mon bas ventre fut envahit par une douleur intense. Je lui
    avais donné l'occasion de m'anéantir totalement. Un second coup me fit
    trembler dans tout mon corps.

    Tu vois, tu ne ressentiras plus de telle douleur !

    Elle reprit les ciseaux et tapota sur mes couilles comme avec une petite
    batte.

    Regarde-moi, Mark.

    Je lui obéissais tremblant de peur et vis à travers mes larmes la beauté de
    mon bourreau.

    Dis adieu, à tes testicules, Mark ! Allez ! Dis : Adieu ma virilité, je
    veux être ton eunuque. Dis-le !

    Elle posa le métal froid des ciseaux sur mes bourses. Je dis d'une voix
    brisée :

    Adieu ma virilité, je veux être ton eunuque, Maria.

    Bien ma femmelette chérie, regarde tes couilles.

    Je pleurais et baissais la tête. Maria rigolait. Je vis les ciseaux se
    refermer sur mes couilles. Mes testicules étaient sectionnés !


    Ma vie a changé, je passe des heures entre les cuisses de Maria pour son
    plaisir exclusif. Son appétit sexuel n'a pas diminué. Elle adore me voir
    nu, poser sa main sur mon bas ventre castré. Elle a déposait mes testicules
    dans une boite, à coté de celles de Jonathan. En rigolant, elle m'a dit
    qu'elle envisageait de constituer une collection.


    Je lui obéis, je l'aime. Je suis son esclave, son EUNUQUE !



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