• Histoire  1 : Tel est pris qui croyait prendre (par Olivier)

    Je suis marié avec Sylvie depuis 25 ans et j’avais souvent essayé de la convertir à la domination féminine. C’est d’autant plus surprenant que ma femme est de nature autoritaire et n’hésite pas à me rabaisser devant les autres. De plus depuis 3 ans nous faisons chambre à part et n’avons pratiquement plus de relations sexuelle. J’étais certain qu’elle désirait me dominer mais que la barrière psychologique et son éducation bourgeoise l’en empêchait. Sachant qu’elle aimait mes massages de pieds j’osais quelque fois les embrasser et elle ne me repoussait pas mais pas question de bondage, de fessée, de soumission. Le jeu de pouvoir entre une femme et un homme reste un tabous dans notre société surtout quand c’est la femme qui domine.  De mon côté je suis convaincu que les femmes sont supérieures aux hommes tant pas leur beauté que par leurs caractères Les femmes sont faites pour diriger les désirs des hommes et les faire obéir au doigt et à la baguette. N’ayant pas ma ration de soumission j’ai entrepris une relation avec une maitresse professionnelle qui possède un magnifique donjon pas très loin de chez moi.

    Lorsque j’avais pris mon rendez-vous mensuel chez Lady A, je ne me doutais pas de ce qu’il m’allait m’arriver…

    Lady A m’avait dit que la séance serait spéciale et qu’une surprise m’attendait. Lors du trajet, je m’interrogeais: De quoi pouvait-il s’agir? J’ai pratiqué avec elle, le fétichisme des chaussures et des pieds, la fessée, les pinces, le bondage, le « face sitting » et l’urologie. C’est donc tout émoustillé que je présentais à l’heure devant sa porte. Là, à peine rentré, elle me dit:

    -        Aujourd’hui quelqu’un paie pour toi. Va te laver et attends devant la cage.

    Après avoir bien lavé mon corps en ne négligeant ni mon sexe ni mon anus, je me rendis devant la cage et là, oh surprise, je trouvais à l’intérieur un autre homme attaché. Connaissant les règles, je mis mon collier et mes bracelets de cuirs aux chevilles et aux poignets. Ensuite, vite à genoux devant la cage avec les 2 mains derrière la nuque.

    -        C’est mon soumis « Carpette ». Comme tu peux le voir, il est percé et porte des traces de cravache.  Malgré cela, il est très soumis et obéit à mes moindres caprices. Tu vas faire sa connaissance. Entres dans la cage après que je t’ai mis une cagoule pour t’empêcher de voir.

    Là, elle me mit une cagoule de cuir, la laça sur ma nuque, ferma la fermeture éclair de la bouche et plaça le loup opacifiant avec des boutons pression. Elle me poussa sans ménagement dans la cage ou je dus me compresser avec « Carpette. J’entendis la porte se refermer et le cadenas fit un bruit sec lors de sa fermeture. Alors commença une longue attente collé contre un corps masculin et confiné dans l’odeur du cuir. Notre liberté de mouvements était restreinte car Lady A avant fixé nos bracelets de poignets sur le haut de la cage.  L’odeur du cuir, le contact du corps de « Carpette » et notre position inconfortable devenait de plus en plus difficile à supporter.
    J’entendis soudain que l’on frappait à la porte, puis la porte s’ouvrit en j’entendis le bruit de talon féminin résonné sur le carrelage.  Je dénombrais 2 personnes (Lady A et une autre femme). Des chuchotements et des rires étouffés résonnaient. Tout d’un coup, j’entendis le cadenas et la porte s’ouvrir. Lady A nous détacha et demanda à « Carpette » de me conduire vers le banc de soumission. Ayant toujours ma cagoule avec le loup et le bâillon escamotable, « Carpette » me guida tant bien que mal, en aveugle vers le meuble que je connaissais bien. Là, il me coucha sur le banc et entrepris de m’attacher avec les sangles. Tout d’abord une épaisse sangle sur les reins, puis les bracelets de poignets et de chevilles furent attachés de chaque côté du banc de soumission. Finalement d’autres sangles furent misent pour restreindre mes avant-bras et maintenir mes jambes écartées bien fixée sur le banc. Le bougre savait s’y prendre tout était parfaitement ajusté et je ne pouvais plus bouger.  Pour terminer « Carpette » me mit un parachute de testicules avec chainettes et poids.  Alors il dit :

    -        L’autre esclave est prêt Maitresse à votre bon vouloir.

    -        Bien, « Carpette » tu peux lui retirer sa cagoule.

     « Carpette » s’empressa d’obéir et je puis finalement contempler le jour. Lady A se tenait devant moi sur ma gauche avec une cravache à la main tandis que « Carpette » se tenait à genoux sur ma droite. 
    Je me demandais ou se trouve l’autre femme ?  Sur un signe de tête de Lady A, j’entendis des pas se rapprocher dans mon dos.  C’est alors que j’entends une voix qui me liquéfia

    -        Alors on est en réunion d’affaire?

    Je venais de reconnaitre la voix de ma femme Sylvie. Elle se plaça entre lady A et « Carpette ». Malgré la honte de me retrouver attaché sur le banc de soumission je ne puis que l’admirer dans sa tenue de Domina. Je remarquais en premier lieu ses escarpins à talons de 15 cm de haut et ses bas résilles. Puis en remontant mon regard j’aperçu sa guêpière cloutée qui mettait en valeur ses gros seins. Son maquillage soutenu et ses lèvres ourlées de noir me la montrait dans toute sa splendeur. Mais ce qui m’inquiéta c’était son air furieux.

    -        Ecoutes, chérie, je vais t’expliquer. Je …. 

    -        Il n’y a rien à expliquer salopard. Il y a combien de temps que tu me trompes?

    Elle s’empare de la cravache de Lady A

    -        C’est pour ça que tu me négligeais?

    Sa question est appuyée pas un coup sur les fesses

    -        Aie, Heu. Ce n’est pas ce que tu penses.

    -        Je t’interdis de me mentir. J’ai vus sur ton téléphone portable le numéro de Lady A et comme tu n’es pas malin, j’ai relevé également les traces de son site sur internet. Là ce fût un jeu d’enfant de monter ce traquenard avec elle. Tu aimes la soumission, tu m’as harcelée pour combler tes fantasmes de pervers et bien tu vas être servi. Tu es surpris de ma reconversion mais sache que toute femme a dans son cœur, un bourreau qui sommeil.

    -        Pardon Chérie. 

    -        Il n’y a pas de pardon pour le moment et il n’y a plus de chérie. Dorénavant tu me vousoieras et m’appellera Maitresse Sylvia ou tu prends tes cliques et tes claques et je te reverrai plus. Tu as compris connard ?

    Coup de cravache

    -        Oui  Maitresse.

    Coup de cravache

    -        Maitresse comment? 

    -        Oui Maitresse Sylvie

    Coup de cravache

    -        Tu as oublié comment je j’appelle dorénavant ?

    -        Oui Maitresse Sylvia adorée. Je ferai tout ce que vous voulez mais gardez-moi à votre service.

    -        Pour commencer, Lady A m’a recommandé de te trouver un nom de préférence ridicule, propre à ta nouvelle condition d’esclave. J’avais pensé à : Lopette, Etron, Tampax, Crachat, Larve, Médor. Qu’en penses-tu ? 

    -        Heu .. 

    -        C’est tout ce que tu sais dire ! Je trouve que « larve » te va bien. Dorénavant tu seras le soumis « Larve ». C’est bien compris ?

    -        Oui Maitresse Sylvia adorée, Je m’appelle soumis « Larve » pour vous servir.

    -        Bien tu commences à comprendre. Remercie également Lady A qui a accepté de me coacher  pour te dresser. 

    -        Merci également à vous Lady A pour vos conseils à ma Divine Maitresse.

    Lady A prend en main la leçon Elle explique en premier lieu à Maitresse Sylvia qu’il faut donner des noms aux instruments de torture favoris. Les mâles ont besoin d’associer un nom de femme dans les objets utilisés pour les corriger. Ils comprennent mieux leurs conditions inférieures. J’aime bien cette citation de Guy de Maupassant : Une femme a toujours en vérité, la situation qu’elle impose par l’illusion qu’elle sait produire.

    -        Je vais te montrer comment utiliser les différents fouets sur « Carpette » et toi tu t’entraineras sur « Larve. Tu pourras donc choisir ton instrument préféré.
    « Carpette » ! Met-toi en position »

    « Carpette » se met à quatre pattes, écarte bien les jambes et se cambre. Lady A dit alors :

    -        Tu vois c’est la position que ton soumis doit adopter pendant l’attente. Chaque manquement devra être puni de 20 coups de cravache.
    En premier lieu, tu vas choisir un instrument de flagellation parmi 5.  Dans un ordre croissant pour la douleur il y a : 1/ le martinet 2/ la tapette, 3/ la cravache, 4/ Dressage Whip (une tige semi rigide de 58 cm et une mèche de 24 cm), 5/ la canne et 6/ le fouet arabe. Moi je préfère la cravache, elle est facile à manier et peut faire très mal. « Carpette » l’a baptisée « Ashley » en mon honneur. J’utilise également la canne mais il faut la manier avec précaution, jamais sur les reins afin d’éviter les lésions irréparable.

    Maitresse Sylvia, caressa tous les instruments et se décida pour la canne.

    -        J’ai choisi cette canne car vas recevoir maintenant la correction que tu mérites pour toutes les humiliations que j’ai subie. Tu appelleras cette canne « Sylvie » en souvenir de notre ancienne vie.

    Alors Lady A assène une volée de coups sur ce pauvre « Carpette ». Le cul, le dos, les jambes y passent. En s’adressant à Maitresse Sylvia :

    -        Voilà ma chère, comment utiliser une cravache. Il ne faut pas hésiter à faire claquer le bout souple sur les chairs. Essayes le donc sur « Larve ».

    Maitresse Sylvia s’empara de la cravache commença à me frapper doucement le cul. Lady A l’encouragea à frapper plus fort.

    -        Plus fort. Ce n’est rien à ce qu’il va subir plus tard.

    -        Bon je vais commencer à te faire rougir le cul avec Ashley.

    Maitresse Sylvia se mis sur ma gauche et commença à me cingler les fesses et le dos.
    Rapidement mes fesses et mon dos me brûle et je commence à l’implorer.

    -        Pitié Maitresse, arrêtez. Ça fait trop mal.

    -        Quelle petite nature, il n’a pas encore goûté à la cane Sylvie dit Lady A

    Après une trentaine de coups, Maitresse Sylvia contempla son œuvre.

    -        Pas mal, ton cul est vraiment rouge mais cela ne suffit pas. Lady A peux-tu me montrer comment utiliser la canne ?

    -        Bien volontiers. Tes désirs sont des ordres. Ha ha …

    Lady A pris une canne en jonc et commença à la faire siffler.

    -        Tu entends comment le chant de la canne est agréable…

    Là elle posa la canne sur le bord des fesses de « Carpette » pour viser, la releva et l’abattit violement sur les fesse de son soumis. Tout de suite une marque rouge et légèrement boursouflée se dessina en travers de son cul. Elle administra une vingtaine de coup à « Carpette » qui cria et commença à pleurer.

    -        Voilà. Tu as compris comment procéder?

    -        Je pense que j’ai bien assimilé les mouvements et la force qu’il faut y mettre dit Maitresse Sylvia. Tu vas recevoir maintenant ta correction. Pour ne pas t’entendre supplier et pleurer, je vais te mettre une de mes culottes sales dans ta bouche. Je t’ai réservé celle-ci qui contient des traces de foutre, de pise et un peu de mes règles. Cela ne te dérange pas ? Ha ha ha.

    Maitresse Sylvia, m’a montré sa culotte et l’a frotté sur mon nez. Il y avait bien des traces dégoutantes et l’odeur âcre était suffocante. Après l’avoir roulé en boulle et mis dans ma bouche elle fut fixée avec deux tours toile isolante.
    Le premier coup de canne siffla et me mordit cruellement les fesses. Toutes les fessées, coups de cravache donnée auparavant n’étaient rien en comparaison de la canne. Alors que dans mes ancienne séances, je demandais à Lady A de frapper encore, encore et plus fort, là je voulais hurler d’arrêter immédiatement. La douleur était insupportable. Mais je ne pouvais rien dire, le bâillon culotte sale m’empêchait de hurler ma souffrance et j’entendant Maitresse Sylvia prendre du plaisir en me cinglant les fesses en poussant des respirations bruyantes.

    -        Tiens, salope, c’est pour avoir détourné l’argent du ménage….
    Et ça c’est pour m’avoir négligée…
    Et encore ça pour m’avoir trompé…
    Pour avoir bu la pisse de lady A…

    Les coups pleuvaient. J’étais incapable d’en tenir le compte. Chaque sifflement me faisaient me tendre pour essayer d’atténuer la morsure mais en vain. Je ne pouvais bouger. J’étais bien attaché sur le banc de soumission. Devant moi se tenait Lady A et je voyais son sourire amusé. Mes fesses, mon entre jambe me brûlaient, heureusement que « Carpette » m’avait mis un parachute de testicules pour protéger mes couilles. Alors que la correction subie était déjà insupportable, je n’osais imaginer les tourments sans cette protection. Les coups pleuvaient, encore, encore et cela ne semblais jamais s’arrêter. Mes hurlements étouffés, mes pleurs n’étaient rien.
    Finalement les coups stoppèrent.
    Lady A dit à « Carpette »

    -        Otes lui son bâillon et détache-le.

    Et d’adressant à moi elle dit :

    -        Quand à toi, dès que tu seras libre de tes liens,  en position de soumis devant ta Maitresse Sylvia et vite.

    A peine détaché, je m’empressais de me jeter aux pieds de Maitresse Sylvia et me mis en position de soumis. En pleurant, je lui dis

    -        Pardon Maitresse. Je comprends l’affront que je vous ai fait et je vous prie de me prendre à votre service. J’obéirai à tous vos demandes et me comporterai comme un humble soumis. La correction a été très dure mais justement méritée.

    -        Pour montrer ton repentir tu vas me lécher mes escarpins et ensuite me lécher mes pieds.

    Je m’empressais d’obéir d’autant plus que je rêvais depuis longtemps le faire sur ma femme. Mon sexe commença à durcir et je me mis à bander furieusement.

    -        Oh mais ! C’est qu'il bande cette larve.
    La soumission t’excite mais je ne t’ai pas autorisé à bander.

    Maitresse Sylvia s’empare d’un martinet et m’en assène sur les fesses, le dos et le sexe. Sous la douleur Je débandais mais malheureusement quelques gouttes de sperme coula sur le carrelage et Maitresse Sylvia s’en aperçu.

    -        Porc. Tu as souillé le donjon de Lady A avec ton sperme.
    Nettoie vite cela avec ta langue.

    Je m’empressais d’obéir ne voulant plus subir la brûlure du Martinet sur mon sexe.

    -        C’est bien. Tu te comportes comme un bon toutou. Ne t’avise pas à recommencer.
    Met-toi en position de soumis avec « Capette » ta face contre le mur. Et défense de bouger.

    Nous entendîmes quelque pas, petits bruits et quelque temps après un bruit d’eau que l’on verse dans un verre.

    -        Voilà. C’est prêt. La boisson de ces messieurs est servie. Vous pouvez maintenant vous retourner et vous diriger vers vos Maitresse respective dit Lady A

    Toutes deux se trouvaient debout bien dressées sur leurs escarpins. Sans leur culotte. Elles tenaient dans leur main un gobelet en plastique remplis de leur urine. Lady A dit que l’offrande de leur urine allait nous lier à notre Maitresse. Il fallait renouveler l’opération chaque semaine afin que leur nectar imprègne nos entrailles de leur nature divine et notre condition servile.

    -        Vous allez, tous deux boire notre pisse, nous remercier pour cette faveur et finalement nettoyer les traces d’urine qui restent dans notre sexe et à son alentour. Vous devez considérer cet acte comme une très grande faveur et une acceptation de notre part pour vous prendre à notre service ».

    Inutile de vous dire avec quel empressement nous avons exécuté cet ordre. Je rêvais depuis longtemps boire l’urine de ma femme. Son goût était plus sucré que celle de Lady A mais dégageait une odeur plus forte. Je remerciai ma Maitresse pour l’excellence de son nectar.

    Nos deux maitresses nous ordonnèrent de nous coucher sur le sol dos au carrelage. Là elles s’assirent sur nos visage pour nous obliger à leur lécher la vulve les alentours afin d’ôter toute trace de pisse. Enfin je pouvais lui faire un cunni, ce que je rêvais depuis longtemps. Je sentais sur ma langue non seulement les effluves de pisses mais également le goût suave de son foutre. Maitresse Sylvia prenait un grand plaisir avec la langue de son chien. Elle mouillait, son odeur poivrée remplissait mes poumons. Je l’entendis haleter et finalement elle couina et jouit violement dans ma bouche. Le gout délicieux de sa cyprine imprégna ma bouche.
    Alors que je croyais avoir fini elle se tourna à 180° et présenta son cul pour que je le nettoye également.

    -        Nettoyes également ma rondelle. Qu’il ne reste plus de trace de pisse et tant pis si ça un sale goût. Toi « Carpette » apporte moi les pinces de seins.

     Je dus enfourner ma langue dans son anus et cela me déplût car il y avait des odeurs tenaces. Je n’osais pas refuser dans la crainte d’autres coups et je m’efforçais de m’appliquer de mon mieux. Alors je reçu un gros pet en plein visage. L’odeur en était affreuse et je dus la respirer à plein poumon.

    -        Oups, désolé chéri, je ne l’ai pas fait exprès. Ha ha ha
    Comme tu t’es bien acquitté de cette tâche pour te remercier je condescends à t’octroyer le privilège d’une éjaculation. Mais je vais-je vais travailler tes tétons en même temps.

    Maitresse Sylvia me mit des pinces sur les seins et commença à tirer dessus. La morsure était pénible mais provoquait une terrible érection. Quelques mouvements suffirent à faire cracher ma queue.

    -        Et tu n’es même pas capable de te contrôler. Je vois bien qu’il te faut des corrections sévères pour t’amener à une jouissance extrême. Je ne t’avais jamais entendu jouir aussi fort.

    -        Bravo, dit Lady A, tu es maintenant une Maitresse confirmée. Il faudra néanmoins continuer le dressage pour que « Larve » te soit entièrement dévouée. Il reste encore beaucoup de pratiques avilissantes pour dresser ce soumis.

    -        Vas te laver avec « Carpette » puis rhabillez-vous, rangez et nettoyez le donjon de vos infectes déjections. En attendant nous allons boire un verre.

    Lorsque nous avons tout nettoyé mon ex-femme dit au revoir à Lady A et lui promis de lui faire part de mes progrès dans ma nouvelle condition et qu’elle suivrait bien ses conseils.

    Alors commença ma vie de soumis auprès de Maitresse Sylvia, anciennement ma femme …


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