• Bonjour
     
    Je vous confie mon histoire afin d'enrichir votre blog si vous le desirez.
     
    Je viens de découvrir votre blog et en même temps ce que je suis vraiment. Un sous homme. Je n’avais pas conscience de cela jusqu'à présent. Je savais que j’étais soumis à ma femme mais je pensai que je faisais cela par amour mais je réalise que c’est aussi parce que j’ai une petite bitte. Sans réellement donner dans la domination ma femme m’a fait glisser vers l’état de carpette. Tout commença le jour ou elle me dit que j’avais un zizi de petit garçon, lui demandant pourquoi ? Elle répondit qu’il était tout petit. Quelque jour plus tard elle me demanda de m’épiler le pubis, devant mon refus elle se fâcha très fort. Je lui demandais alors pourquoi elle voulait m’épiler, elle me dit alors que vu la  taille de mon pénis il ne meritait pas d’avoir des poils seul les vrais hommes pouvaient avoir des poils et que si je refusais nous ne ferions plus l’amour. Devant une telle menace je fini par accepter. Elle se mis alors préparer la cire afin de m’épiler à l’orientale. Ce fut pour moi un véritable supplice. J’avais la peau brûlante et arrachée sur certains endroits de mes testicules. J’étais honteux de me voir dans cet état et furieux d’avoir accepter. Mais le pire était à venir.

    3 jours plus tard elle voulu que nous allions sur une plage ou le naturisme était accepté. Je lui dis que c’était un drôle d’idée mais elle insista. Arrivés sur la plage je m’aperçu qu’elle n’avait pas amené mon maillot je lui fit remarquer, elle me répondit que c’était normal. Vu les ridicules petites choses que j’avais entre les jambes ça ne devrait poser aucun problème sur cette plage. Il était clair qu’elle cherché a m’humilier. Ce qu’elle ne se priva pas de faire m’obligeant a être en permanence sur le dos mes parties exposée a tous les regards. Elle me fit traverser la plage plusieurs fois pour aller lui chercher à boire. Sentant les regards narquois se porter sur mes petites choses, le rouge me montait aux joues à chaque traversée. Chaque fois qu’un homme bien membré passé prés de nous elle ne manqué pas de me le faire remarqué. En me disant regarde un vrai homme ; je ne la reconnaissais pas et je vécu une véritable journée d’humiliation.

    Le soir elle voulu faire l’amour dans des positions inadaptées a mes mensurations, pour me dire que mon truc était trop petit. Il en fut ainsi pendant six mois jusqu’au jour ou elle refusa de me faire l’amour. Et elle employa la méthode la plus brutale pour me le faire comprendre. Alors qu’un soir je m’approchais d’elle en érection elle empoigna mes petites couilles dans une de ses mains et me les écrasa violemment. Alors que la douleur dévoré mes petites choses elle fit de même avec mon gland, déclanchant une  éjaculation que je ne pus retenir. Elle me dit en écrasant mes testicules de plus en plus fort qu’elle ne voulais plus me voir ainsi que c’est elle seul qui déciderai quand nous ferions l’amour qu’elle n’accepterai que les érections provoquées par elle. Elle serra mes couilles une dernière fois en tirant violement dessus ce qui me fit me tordre de douleur et tomber par terre. J’espère que tu as compris me dit elle en tournant les talons. Apres quelque pas elle fit demi tour et revint vers moi posa son pied sur mes testicules et me dit toute en les écrasant « maintenant tu vas nettoyer tes cochonneries ». Honteux je m’exécutais puis parti me coucher le bas ventre ravagé par la douleur. A partir de ce jour elle décida de me mettre à l’abstinence sur des cycles de plus en plus long en  répriment toute velléités d’érection de ma part par un écrasement de mes testicules en règles, même mes érections matinales étaient  châtiées. D’humiliations en  frustrations je fini par être impuissant après un ans. Une thérapie chez une psycho sexologue m’appris que j’avais été châtré psychologiquement et que la seule solution était de quitter ma femme. Chose a laquelle je ne pus me résoudre. Après en avoir parler avec ma femme elle accepta de me garder si j’étais gentil, ce qui voulait dire me plier a tous ses désirs et tout accepter c’était a prendre ou a laisser. J’acceptais ses conditions par amour du moins c’est ce que je pensais Quelque semaines plus tard j’avais une douleur persistantes aux testicules due a une correction un peu trop forte, elle m’emmena chez sa doctoresse pour me faire ausculter  lorsque celle si me demanda de me déshabiller je fut pris d’une sorte de panique ma pauvre petite bite qui n’est déjà pas bien grosse se ratatina encore plus. Lorsque la doctoresse vit mes petites choses elle  regarda ma femme du coin de l’œil en disant hé bien ma pauvre ; tout en palpant mes testicules elle demanda alors a ma femme
    - depuis combien de temps je n’avais pas fait l’amour.
    - Ma femme répondit depuis plus d’un an
    - la doctoresse dit que c’était beaucoup trop long, que ce n’était pas bon
    - ma femme répliqua que j’étais impuissant et qu’elle m’avait castré psychologiquement.
    - Pourquoi ? demanda la doctoresse
    - pour ne pas qu’il me casse les pieds trop souvent et pour ne pas qu’il me trompe dit ma femme.
     J’étais honteux d’entendre c’est deux femmes discuter sur mon sort de pauvre male impuissant et sous dimensionné  je ne me sentais  plus vraiment un  homme
    - la doctoresse demanda à ma femme si cela ne lui manquait pas de ne pas faire l’amour.
    - ma femme répondit alors que oui mais que mon petit zizi ne pouvait la satisfaire.
    - Je comprends dit cyniquement la doctoresse en pressant mon testicule douloureux.
    Je senti le  vertige me gagner.
    - Comment fait tu ? Dis alors la doctoresse à ma femme.
    - ma femme répondit que de temps en temps elle trouvait un vrai homme pour satisfaire ses besoins sexuels.
    La doctoresse pressa de nouveau mon testicule meurtri en me regardant de façon hautaine au moment ou je venais d’apprendre que j’étais cocu.
    - Alors  ce n’est pas un problème tu peux le laisser comme ça. Tu l’as castré tu as réussi ton coup maintenant tu es tranquille.
    - Ma femme lui avoua que de temps en temps elle aimerait me faire bander.
    - pour quoi faire dit la doctoresse puisqu’il ne peut te satisfaire.
    - pour le voir me désirer répondit ma femme.
    Dubitative la doctoresse  dit en regardant mes pauvres petites choses entre ses doigts fins « pour les testicules ça ne semble pas très grave cela devrai passer, pour le reste je vais vous donner du viagra vous verrez ce que cela donne.. »
    Le soir ma femme m’adminastrat une petite pilule bleue et après un bon moment de stimulations parvint a obtenir une érection de ma petite queue. Erection qu’elle ne réprima pas pour une fois, elle m’imposa de rester nu ainsi en la regardant se préparer a aller au lit. Tout excité j’espérais lui faire l’amour. Elle fit durer le plaisir jusqu'à la fin de mon érection. Lorsqu’elle vit que ma queue était redevenue flasque, elle me dit chéri ce soir je vais te faire un cadeau surpris je lui dit merci. Elle s’approcha fièrement de moi et me dit
    -je t’offre mon corps soulage toi en lui.
    Je maudi alors cette bite qui était devenue flasque et mole.
    -Alors chéri qu’attend tu pour me pénétrer dit ma femme en feignant de ne pas voir mon absence d’érection.
    Elle pris un air surpris pour me dire Ho pauvre chéri c’est déjà fini tu n’as pas de chance la prochaine fois j’essaierai d’aller plus  vite.
    Je me senti vraiment humilié face a cette superbe femme que j’étais incapable de satisfaire.
    Elle me demanda de me mettre a genoux puis me dit branle toi, je veux te voir branler ta queue mole et vider toi-même tes petites couilles ajoutant je ne peux le faire moi même je n’aime que les queue bien dures. Je m’exécutais à me soulager moi-même. Vas y dit elle je veux voir ta substance couler lamentablement de ton petit zizi tout mou.
    Depuis ce jour j’ai accepté ma condition de soumis sans  en être conscient. Jusqu'à ce que je tombe sur votre blog négligemment laissé ouvert par ma femme je pense, et que je lise la lettre au petits pénis qui m’a fait comprendre pourquoi j’en suis arrivé là. Tout simplement parce que je ne suis rien d’autre qu’une petite bitte molle avec deux ridicules petites couilles destiné a être soumis, un sous homme fait pour servir les femmes sans mériter d’en jouir. Je suis maintenant convaincu que je dois accepter mon état et remercier ma femme de m’accepter auprès d’elle avec mon infirmité. Et de tout faire pour la rendre heureuse.  Je comprend aussi pourquoi ma femme me parle d’eunuques en me vantant les mérites d’une telle solution qui éliminent dit elle les tensions du corps des hommes et leurs permet de vivre plus longtemps. Me faisant remarquer que dans mon cas je ne perdrais finalement pas grand-chose vu la taille ridicule de mes toutes petites couilles et que j’en serai sûrement plus  heureux, je n’aurai plus cette frustration provoquée par mon impuissance. En fait elle  commence à me préparer à une castration définitive et non plus psychologique. Je crains qu’elle n’y parvienne tant je l’aime, pardon tant je lui suis si soumis et dévoué, en plus elle est très persuasive. Lorsque je regard mes pauvres petites choses je ne suis pas loin de penser qu’elle a sûrement raison.
     
     
    Luc
     


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