• Les collègues par Crisoline

    Voilà 20 ans que je suis mariée, mon mari m'aime et nous avons deux enfants magnifiques. Nous nous sommes connus très jeunes et nous coulons une vie tranquille dans notre petit nid douillet. À 42 ans, je m'estime heureuse et je ne manque de rien. À mon travail j'ai des collègues charmants et l'ambiance est chaleureuse, des pauses à la machine à café nous faisons des moments où chacun expose avec parfois peu de pudeur des épisodes de vie intime, rires, réflexions, inquiétude parfois suivent ses débats.

    La vie prend parfois des virages et nous sommes entraînés dans des histoires sans avoir le temps de réagir. Cette histoire est réelle, elle est le commencement d'une longue série d'aventures qui n'ont pas néanmoins perturbé ma vie de femme modèle.

    Une journée de novembre pluvieuse qui n'engendre pas la bonne humeur, je me rends à la pause et je rencontre un collègue peu communicatif qui me semblait songeur et triste. Ma bonne humeur et mes interrogations l'ont amené à me parler et à confier la terrible épreuve qu'il endurait. Sa femme était décédée depuis quelque mois et la vie lui semblait morne et sans intérêt. Attentive à ses propos, j'essayais de lui donner un peu de joie de vivre durant ce bref épisode. Ces rencontres se reproduisaient à intervalles réguliers et au fur et à mesure de nos rencontres, son visage retrouvait des expressions. Quelques semaines plus tard, il m'invita au restaurant et c'est volontiers que j'acceptai ce repas en tête à tête. J'étais sûre que cette sortie lui apporterait un peu de joie de vivre.

    C'est maquillée et vêtue d'une jupe courte que je le retrouvai dans le restaurant, j'aime faire bonne impression ! Le repas s'est déroulé tranquillement et je fus à son écoute la plupart du temps afin qu'il puisse se débarrasser de ses angoisses. À la fin du repas, je ne fus pas vraiment surprise qu'il m'invite chez lui pour me monter des photos son épouse disparue.

    N'y voyant que détresse et besoin de communiquer, j'acceptai également de faire un détour le soir et nous décidâmes de nous retrouver en fin d'après-midi. Après tout, ça ne faisait qu'un petit détour en rentrant chez moi, quelques minutes tout au plus et j'avais l'impression de faire une bonne action.

    Après ma journée de travail, je me suis donc rendue chez lui et après une visite brève des lieux, il me montra les photos de sa femme. De nombreuses photos ornaient les murs et au fil des descriptions, des larmes apparurent sur ses joues. Je ne pus alors m'empêcher de lui tenir la main et de l'embrasser sur la joue sans arrière-pensée.

    C'est alors qu'il tourna la tête et avant même que je puisse réagir, je me suis retrouvée avec sa langue dans ma bouche. Sans rancune, je finis de l'embrasser profondément. Il me prit alors dans ses bras et commença à me toucher sous ma jupe ; le string et les bas ne lui opposèrent pas beaucoup de résistance, ses mains frôlaient la peau de mes cuisses et il atteint rapidement mon pubis. Surprise, je lui fis part de ma désapprobation mais il continua et parvint même à me baisser la culotte en me précisant qu'il redécouvrait la femme. Fallait-il le repousser violemment ? Je décidai alors de m'assoir sur le divan pour calmer ses ardeurs. Ce fut une erreur car à ce moment, étant à genoux devant moi, il engouffra sa tête entre mes cuisses. Je sentais son souffle et sa langue commença à ouvrir mes lèvres et à chercher mon clitoris. « Pourquoi n'ai-je pas mis une culotte plus protectrice ? », me dis-je ! N'étais-je pas un peu fautive et consentante. J'ai eu la réponse rapidement.

    Je fus prise alors d'une excitation certaine et malgré ma vie qui défila dans mon esprit et la sensation de faire quelque chose d'inexcusable pour une femme mariée, je le laissai faire. L'extase me prit rapidement, je me retrouvai alors nue sur le divan et il me parcourut de sa langue experte.

    Je me pris au jeu et commençai à sortir son sexe doucement, à ma grande surprise il était au double de celui de mon mari; cette approbation le fit immédiatement réagir et il ôta son pantalon. Je réfléchissais et je me disais : « Jusqu'où vas-tu accepter ? Ton mari et tes enfants t'attendent... » mais je savais que n'ayant connu que mon mari jusqu'à présent, j'allais peut être découvrir un plaisir décuplé. De toute façon, avant même de m'interroger sur la nécessité de se protéger, il me pénétra avec douceur et commença ses allers-retours.

    Son pénis gonflé à l'extrême me remplissait le vagin et je sentais les afflux de sang me dilater. Je lui appartenais complètement et il prit toutes les initiatives, sa langue se glissait dans mon vagin quand il sentait son excitation grandir, il voulait que ce rapport dure le plus longtemps possible. J'étais tantôt sous lui, tantôt au-dessus. D'un rapport langoureux rempli de tendresse il passait alors à des pénétrations plus vigoureuses et fit claquer son pubis sur mes fesses alors qu'il me pénétrait en levrette. J'étais incapable de réagir et je me suis surprise à dire « encore ! », je levais la croupe pour qu'il puisse mieux me remplir et que je puisse sentir son pénis me remplir les entrailles.

    En fait, j'étais bien consentante et je me suis qualifiée un instant de « salope », peu importe, c'était trop bon, je ressentais beaucoup plus ses assauts que ceux de mon mari qui avait toujours peur de me faire mal, ici, pas de détails, il me défonçait. Il m'introduisit son pénis dans ma bouche et je le suçai délicatement, j'étais prête à recueillir sa semence s'il le voulait, en effet je ressentis son excitation devenue incontrôlable.

    Pour reprendre ses esprits, il se retira de ma bouche et, les yeux remplis de plaisir, me souffla quelques mots doux à l'oreille : « Je savais que tu étais sensuelle... » suivi de « Mais que vas-tu dire à ton mari ? ». Je n'avais pas le choix, le mensonge me semblait inéluctable, je ne voulais pas tout détruire pour une heure de plaisir. C'était clair, son intention était de me remplir le ventre, de déposer ses gènes dans ce vagin qui n'a jamais connu qu'un homme.

    D'ailleurs à ma grande surprise, il m'avoua à ce moment qu'il connaissait ma situation et qu'il se doutait que j'allais céder. Il me pénétra à nouveau et je sentis alors une explosion de sperme m'envahir le ventre, le mal était fait, mon mari était cocu et bien cocu. Pire, avec lui on avait décidé d'opter pour le préservatif comme moyen de contraception, les autres ne me convenant plus, je pouvais donc me retrouver enceinte suite à cet écart. J'avais 42 ans mais pouvais-je exclure une grossesse ?

    La douche ôta toutes les odeurs et c'est remplie que je rentrai à la maison, dans ma voiture, je sentais le sperme couler entre mes cuisses. Il devait bien rire, le collègue : « Je l'ai baisée, la sainte-nitouche et en plus elle est bonne ! »

    Je suis vraiment naïve... Je fus angoissée quelques jours, mais la fécondation n'eut pas lieu. Ouf ! C'est mon jardin secret. Quant au collègue, il va mieux, il ne me parle plus de sa femme et j'ai su que beaucoup de collègues féminines sont allées le consoler.

    Aahh, j'oubliais de vous dire, le même scénario s'est reproduit quelques temps plus tard, de la machine à café nous sommes repassés au lit avec un autre collègue, j'ai honte d'avoir cédé à un dragueur, cette fois-ci, il m'a appris beaucoup de choses, jusqu'à la sodomie et les fellations dans le bureau. Je reprends la pilule, mon mari n'y est pas opposé mais il ignore la véritable raison. Comment ai-je pu céder et rejeter ma vie qui semblait tracée à l'avance ? Plusieurs collègues se sont délaissés de leur semence en moi, ils ne sont pas reconnaissants, mon mari continue à me faire l'amour avec son humble pénis pas à me sauter...

    Crisoline

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