• Я сберегла
    Все сказки о любви
    И в детских снах
    Мои мечты

    Вновь вижу я
    На гордом скакуне
    Принц голубой
    Спешит ко мне

    Он ли,
    Пришёл ко мне, его ли
    Я встречу в моём сне
    Кто о любви и счастье
    Пропоёт мне при луне

    Ты ли, мой принц бесстрашный, слышишь
    В моём волшебном сне
    Слова любви и счастья
    Напеваю я тебе

    Я бы дала
    Все кольца и браслеты
    Месяц, луну
    И ночи лета

    Всё за тебя
    И детство, и любовь
    Принц голубой
    Мне нужен вновь


    Paroles : Jean Roulet
    Adaptation : Alexander Markine

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  •               L'hymne à la mort

    Tu ne m'as jamais,

    Jamais,

    Rien promis,

    Jamais

    Moi je ne t'ai

    Jamais

    Près de moi,

    Alors,

    Je ne pourrai

    Jamais

    T'en vouloir,

    Je sais,

    Pour te garder,

    Tu sais,

    J'ai des projets...

    Tu en a marre

    De moi,

    Tu fatigues,

    C'est ça!

    Un coup de barre

    Sur toi.

    J'ai donné,

    Je crois.

    Je vois ton sang

    Qui coule

    Dehors ou

    Dedans,

    Indifférent

    à moi,

    C'est désolant.

    Je t'aime à vomir

    C'est laid

    à mourir

    C'est fait

    Je taime à souffrir

    Au fait,

    Qu'est ce que ça

    Te fait?

    Toi, tu ne dis

    plus rien

    ça ne te coûte

    Rien.

    Juste un regard,

    Au moins,

    Avant la fin.

    Tu ne m'as jamais,

    Jamais

    Rien promis,

    C'est vrai.

    Tu en a marre,

    Je sais,

    Tu fatigues

    Oui, mais

    Je t'aime à vomir,

    C'est laid,

    à mourir,

    J'essaye

    C'est difficile,

    Tu sais,

    J'ai des projets...

    (paroles de Robert et musique de Mathieu Salandin)


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  •               L'hymne à la mort

    Tu ne m'as jamais,

    Jamais,

    Rien promis,

    Jamais

    Moi je ne t'ai

    Jamais

    Près de moi,

    Alors,

    Je ne pourrai

    Jamais

    T'en vouloir,

    Je sais,

    Pour te garder,

    Tu sais,

    J'ai des projets...

    Tu en a marre

    De moi,

    Tu fatigues,

    C'est ça!

    Un coup de barre

    Sur toi.

    J'ai donné,

    Je crois.

    Je vois ton sang

    Qui coule

    Dehors ou

    Dedans,

    Indifférent

    à moi,

    C'est désolant.

    Je t'aime à vomir

    C'est laid

    à mourir

    C'est fait

    Je taime à souffrir

    Au fait,

    Qu'est ce que ça

    Te fait?

    Toi, tu ne dis

    plus rien

    ça ne te coûte

    Rien.

    Juste un regard,

    Au moins,

    Avant la fin.

    Tu ne m'as jamais,

    Jamais

    Rien promis,

    C'est vrai.

    Tu en a marre,

    Je sais,

    Tu fatigues

    Oui, mais

    Je t'aime à vomir,

    C'est laid,

    à mourir,

    J'essaye

    C'est difficile,

    Tu sais,

    J'ai des projets...

    (paroles de Robert et musique de Mathieu Salandin)


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  •                             Partir au bord des larmes

    Un petit garçon

    Est tombé de vélo

    Et sur son bobo

    Il n'y a plus que le vent

    Pour souffler dessus

    Comme faisait sa maman

    Pour sécher ses larmes

    Il n'y a plus que le vent.

    Ce vent froid, violent

    Qui brise toutes les vagues

    Sur ces noirs rochers

    Taillés comme des larmes

    Pauvre petit garçon,

    Vague à l'âme.

    Il faut ramasser

    Les plus beaux coquillages.

    Les mamans qui volent

    Vont y cacher leur voix

    Ecoute la...

    Partir au bord des larmes

    Ensemble t'y consoler

    Je décide, Amour,

    Assise sur un rocher,

    Qu'il te faudra plonger

    Dans cette eau bleue glacée

    Pour givrer tes larmes,

    Il te faudra plonger.

    Si la peine te noie

    Je saurai te sortir

    De ces eaux glacées

    Et  mes longs bras s'étirent

    Jusqu'à toi pour te ramener.

    Si la peine te noie

    Je saurai te mentir

    Ta maman se cache

    Au fond de moi pour toi

    Et je t'envoie ses sourires.

    Un petit garçon

    Est tombé de vélo

    Et sur son bobo

    Il n'y a plus que le vent

    Pour souffler dessus

    Comme faisait sa maman

    Pour sécher ses larmes

    Il n'y a pluq que le vent.

    Ce vent froid, violent

    Qui brise toutes les vagues

    J'y mêle ma voix

    Douce et chaude à  la fois

    Et le vent n'est plus

    Comme avant.

    En moi, man Amant,

    S'invente doucement

    Un petit enfant

    Qui attend patiemment

    Quelqu'un pour menter à vélo.

    (Paroles de Robert et musique de Mathieu Salandin)


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  •                             Partir au bord des larmes

    Un petit garçon

    Est tombé de vélo

    Et sur son bobo

    Il n'y a plus que le vent

    Pour souffler dessus

    Comme faisait sa maman

    Pour sécher ses larmes

    Il n'y a plus que le vent.

    Ce vent froid, violent

    Qui brise toutes les vagues

    Sur ces noirs rochers

    Taillés comme des larmes

    Pauvre petit garçon,

    Vague à l'âme.

    Il faut ramasser

    Les plus beaux coquillages.

    Les mamans qui volent

    Vont y cacher leur voix

    Ecoute la...

    Partir au bord des larmes

    Ensemble t'y consoler

    Je décide, Amour,

    Assise sur un rocher,

    Qu'il te faudra plonger

    Dans cette eau bleue glacée

    Pour givrer tes larmes,

    Il te faudra plonger.

    Si la peine te noie

    Je saurai te sortir

    De ces eaux glacées

    Et  mes longs bras s'étirent

    Jusqu'à toi pour te ramener.

    Si la peine te noie

    Je saurai te mentir

    Ta maman se cache

    Au fond de moi pour toi

    Et je t'envoie ses sourires.

    Un petit garçon

    Est tombé de vélo

    Et sur son bobo

    Il n'y a plus que le vent

    Pour souffler dessus

    Comme faisait sa maman

    Pour sécher ses larmes

    Il n'y a pluq que le vent.

    Ce vent froid, violent

    Qui brise toutes les vagues

    J'y mêle ma voix

    Douce et chaude à  la fois

    Et le vent n'est plus

    Comme avant.

    En moi, man Amant,

    S'invente doucement

    Un petit enfant

    Qui attend patiemment

    Quelqu'un pour menter à vélo.

    (Paroles de Robert et musique de Mathieu Salandin)


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