La Disparition du Général Proust est une HyperFiction en ce sens qu'elle se constitue sur le plan rhétorique en un récit de récits en expansion perpétuelle, mais aussi de documents de diverses natures, notamment des photographies et des extraits musicaux; sur le plan technique elle se répartit sur un ensemble de blogs divers dont chacun présente une caractéristique particulière:
Au 1 janvier 2013, cet ensemble, créé en 2004, composé le 10 février 2013, de quarante et un blogs, est en expansion permanente. Conçu comme dynamique, il est soumis à des changements constants qui font qu'aucun lecteur ne peut être assuré d'avoir lu une quelconque version définitive qui, par nature, n'existe pas. Certains de ces blogs, dont j'ai perdu les clefs d'accès, restent figés; d'autres évoluent sans cesse. Enfin l'hyperfiction est aussi une autofiction, autrement dit une autobiographie fictionnelle où la réalité se mélange et se confond parfois avec la fiction. Cet ensemble constitue un jeu de renvois, de reprises en miroir, de variations définissant une approche inédite de l'écrit littéraire. À cette même date, il y a eu plus de 1.800.000 visiteurs pour plus de 5.000.000 de pages vues, chiffres qui, comme chacun sait, ne signifient pas grand chose.