• Humanrights21.org a pour but de sensibiliser aux menaces que les progrès techniques et scientifiques peuvent globalement faire peser sur les Droits de l'Homme.
    De nombreuses organisations à travers le monde réagissent, et préparent activement une journée d'action internationale le 11 octobre 2008 : "Freedom, not fear! 2008"
    En France, des organisations venant d'horizons multiples coordonnent l'édition française de "Freedom not fear": N'hésitez pas à nous contacter pour participer à l'organisation de cette journée internationale.

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  • BANKSTER

    "Vol au dessus de tout soupçon"

    FMI, RESERVE FEDERAL, BANQUE CENTRALE, DEMOCRATIE, GOUVERNEMENT, SERVICE PUBLIQUE, DIRIGEANTS, FISC

    COMMENT FRACASSER CHAQUE AGENCE BUREAUCRATIQUE CONFISCATOIRE DE MONNAIE CONNU A CE JOUR

    ... un livre d'Économies Spirituelles sur les $$$
    et
    se souvenir de qui on est.

     

    Extrait de Bankster: Tout argent ‘naît que dès lorsqu'il est emprunté'. L'argent n'existe pas jusqu'à ce que quelqu'un l'emprunte. C'est de ‘l'argent basé sur une dette', par conséquent ce n'est pas vraiment de l'argent puisque le véritable argent est basé sur une substance – l'or, l'argent, etc. Si l'« argent » naît que dès lors qu'il est emprunté, alors cela signifie qu'il n'existe pas. Ainsi, où est l'« intérêt » ? Il n'existe pas. Comment peut-il être payé ? Il ne peut pas être payé parce qu'il ne fait pas partie de ce qui est créé. Il n'existe simplement pas. La monnaie que nous employons est basée sur notre futur travail que les gouvernements (politiciens) ont promis aux banquiers. De futures générations sont déjà contraintes à payer une dette qui n'existe pas. Pour comprendre L'Argent Dette, nous vous proposons de visionner un documentaire animé, dynamique et divertissant, de l'artiste et vidéographe Paul Grignon qui explique les effets magiques mais pervers du SYSTEME ACTUEL D'ARGENT-DETTE avec une bande son française et des termes compréhensibles par tous !

    99% de la population ignore encore le processus de création monétaire. Ainsi lorsque vous l'aurez assimilé à votre tour, soyez certain de bien faire la distinction entre les répercussions privées et publiques de ce système. Utiliser un systeme d'argent dette pour nos investissements privés, nous le faisions à notre insu jusqu'a maintenant. Le fait que les états européens aient décidé d'abandonner récemment le droit régalien des peuples de battre leur monnaie et ceci sans leur consentement est autrement plus inquiétant. (A noter tout de meme que d'un point de vue privé, l'absence de pleine divulgation et d'égale contrepartie sur le contrat de prêt bancaire peut apparaitre comme frauduleux)

    Extrait de FauxMonnayeurs.org: Depuis 1973 et en application depuis 1974, puis entériné par l'article 104 du traité de Maastricht et finalement transposé dans l'article 123 du traité de Lisbonne, l'Etat a supprimé le recours à l'émission de bons du trésor (emprunt d'état, exempt d'intérêts) puis s'est interdit toute création monétaire en interdisant tout recours à l'emprunt auprès de sa banque centrale à travers le traité européen et ceci pour tous les états européens. Cet état de fait, malicieusement déguisé, rend tout investissement "hors de prix". Ainsi nous sommes assis sur une montage de dettes artificielles dont les conséquences sont dramatiques: Diminution générale du pouvoir d'achat, extension de la pauvreté et misère absolue pour une majeure partie de la population terrestre. Comment peut-on perdre à ce point le plus élémentaire bon sens pour vouloir légitimer le fait qu'un Etat paye un intérêt à un système bancaire privé pour l'usage de sa propre monnaie, qu'il pourrait émettre lui-même, sans intérêt ?

    La réponse(hypothèse actuelle) semblerait se situer dans le fait que bon nombre de haut fonctionnaires, ministres ou anciens ministres siègent ou ont siégés au conseil d'administration de banques privées (voir aussi 'le choix de la défaite' sur notre page videos). Nous voila dans un esclavagisme moderne grâce à la haute trahison de nos élus qui cherchent désespérement des solutions "pansements" aux conséquences du SEUL problème qu'ils ont eux même instauré par décret dans le plus grand silence et sans la moindre concertation ils ont vendu TOUS nos biens, nos propriétés, nos corps et ceux de nos enfants a des banquiers privés.

     BANKSTER.TV


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  • Xavier Niel a critiqué la façon dont les accords de l'Elysée, qui ont inspiré le projet de loi Création et Internet, ont été obtenus.
    Guillaume Deleurence, 01net., le 29/08/2008 à 16h40
     
     
    Questionné sur le projet de loi Création et Internet, qu'il avait déjà sèchement tancé dans Capital, Xavier Niel, le fondateur et actionnaire majoritaire de Free, a réitéré ses critiques à l'occasion de la présentation des résultats du premier semestre du groupe.
    « Cette loi n'est pas correcte », a-t-il souligné, car elle rogne les « libertés individuelles » et a été rédigée pour « rendre service à quelques artistes qui gagnent beaucoup d'argent ». Tout en reconnaissant quand même que « le piratage est un problème », Xavier Niel a indiqué sa préférence pour des systèmes du type « licence globale ».
    Le dirigeant a aussi prévenu que Free ne participerait pas - ni aujourd'hui ni demain » aux tests de filtrage des contenus prévus par les accords de l'Elysée, issus de la mission Olivennes, et qui figurent même dans le projet de loi. Un refus qui étonnera d'autant moins que Xavier Niel raconte avoir en fait « signé une feuille blanche ».

    Jamais de copie du texte...

    Selon lui, les accords de l'Elysée ont en effet été obtenus par Denis Olivennes d'une façon pour le moins tordue, qualifiée, avec ironie, de « méritoire ». Xaviel Niel raconte que les 46 signataires n'ont pas été vus tous ensemble par Denis Olivennes pour avoir lecture du texte et proposer telle ou telle modification. Et aucun n'a obtenu de copie du texte, comme l'expliquait l'article du Point en juin dernier.
    Le jour de la signature des accords, les 46 acteurs ont été invités à signer une feuille vierge, sans avoir le texte sous les yeux. Avec la promesse de l'avoir « dans l'après-midi ». Xaviel Niel précise que les signataires n'ont en fait découvert le texte que le soir, dans le communiqué de presse. Selon lui, chacun aurait alors constaté avoir signé un texte différent de ce qu'il attendait...
    Si la stratégie mise en place par Denis Olivennes peut choquer, on peut aussi s'étonner que les uns et les autres aient accepté de signer un document vierge, surtout dans un dossier aussi délicat.
    Maintenant que le mal est fait, Free dit vouloir s'en tenir aux seules dispositions de la future loi, en précisant que « rien ne sera fait sans la demande d'un juge ». Xavier Niel ne précise pas jusqu'où il est prêt à aller pour combattre ce texte, qui doit être étudié par le Parlement à l'automne.

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  • La Trinité-sur-Mer Réagir à cet article Envoyer à un ami Imprimer cet article

    Concert. Fanfan en live à l'Étage

    Après les Francopholies à La Rochelle, Fanfan est venu à « L'Étage », samedi 19 juillet. « Les Francopholies, c'était super, explique-t-il. Nous avons joué dans un petit bar spécialisé dans la chanson française avec une programmation démentielle. Ce soir, c'est une première à La Trinité sur-Mer ». Fanfan chante au pays, où on l'appelle encore François, où il a passé son enfance. Il compose paroles et musique. Ses sources d'inspiration sont nombreuses. « J'aime Thomas Fersen pour sa musicalité, sa rime riche, mais je suis aussi fan de jazz et de musique du monde », ajoute François. C'est en vivant à Paris que j'ai fait ma révolution musicale, en téléchargeant des musiques de tous les pays. « Avec un collectif de quatorze artistes, ils ont d'autres projets : un hommage à Jean-Roger Caussimon, une pièce de théâtre-comédie musicale intitulée « Les blouses blanches », inspirée par le milieu scientifique et le scientisme (le « prouvé » qui ne l'est pas forcément, pas toujours).
     
    A Auray ce soir
    Samedi, ils étaient trois : Thomas, à la contrebasse, Guillaume, à la guitare, au banjo et au piano, et Fanfan, au chant et à la guitare. Valses d'Europe de l'est, rock enflammé, bossa burlesque, boléro ou jazz oriental, les mélodies hautes en couleur ont enthousiasmé un public venu se régaler à « L'Étage ». Fanfan sera en concert au Billabong à Auray ce mardi soir. <tit-note_n>Pratique </tit-note_n><txt-note_n>Management, Auriane, tél. 06.12.73.45.03 ; auriane@monfanfan.com ; www.monfanfan.com Prochain concert, mardi 22 juillet, à Billabong, à Auray. </txt-note_n>

     


    <script language="JavaScript"> </script>

    Après les Francopholies de La Rochelle, Fanfan est revenu au pays pour un concert donné à l'Etage.

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  • Exclusif PC INpact : Le gouvernement tente actuellement de faire signer d'ici le 10 juin par les FAI, les opérateurs de télécom et les prestataires (fournisseurs en ligne et éditeurs) une charte dite sur la « confiance en ligne ». Ce document, issu du ministère de l'Intérieur, est une petite bombe pour ces fournisseurs de tuyaux plus habitués à la neutralité de leur fonction. Il s'inscrit dans le cheminement de la charte sur les contenus odieux de 2004 et les travaux du forum des droits de l'Internet afin de construire un internet civilisé et sécurisé.

    C'est Nicolas Sarkozy alors ministre d'État, ministre de l'Intérieur et Philippe Bas, ministre délégué à la Famille, qui avaient décidé de confier à une commission collégiale la gestion d'un label « confiance en ligne ». Ce label, reposant sur une Charte, est depuis l'origine destiné à être attribué aux intermédiaires pour « renforcer la sécurité sur Internet, notamment pour mieux protéger les mineurs et lutter contre les escroqueries » (le communiqué de 2007, présenté par Franck Louvrier, aujourd'hui omniprésent conseiller pour la communication et la presse à la présidence de la République)

    S'ils signent, les grands acteurs du Web devront alors apporter tout leur concours et l'art technique pour nettoyer le web français. Morceaux choisis du document en cours de rédaction dont nous nous sommes procuré copie auprès d'un des destinataires, et qui a été soumis à l'avis des principaux intéressés :

    Sécurité informatique
    Auprès des utilisateurs, ceux-ci devront par exemple donner et mettre en avant toute une série d'informations sur les solutions de sécurité (virus, spyware, piratage de connexion, sécurisation wifi), le phishing, le spam, les escroqueries aux cartes bancaires, etc.

    Démarche pro active, filtrage de ports, etc.
    Mais cette mission de base s'enrichit d'autres fonctions nettement plus sensibles : les opérateurs et FAI devront ainsi « procéder à une démarche de veille active, sur les risques techniques émergents pour l'utilisateur ». Ils devront par ailleurs mettre en place « une démarche proactive de sécurisation des équipements par des mesures adaptées ».

    Le texte cite par exemple la suspension, la résiliation, mais encore le blocage de certains ports « auprès de clients mettant en jeu la sécurité du réseau ». Difficile d'oublier que ces questions de filtrage de ports se retrouvent aussi dans la bouche du SNEP. C'est l'introduction douce du filtrage de masse qui se dessine, un filtrage dont la responsabilité et l'initiative sont placées sur les épaules des intermédiaires par le gouvernement, et dont les limites exactes sont bien floues.

    Plus inquiétant : les opérateurs devront « préconfigurer les équipements fournis aux utilisateurs afin qu'ils atteignent un niveau de sécurité par défaut optimal selon l'état de l'art ». Bien entendu, cette « sécurité » par défaut peut s'envisager au profit de l'utilisateur, du réseau ou pourquoi pas d'intérêts très catégoriels puisque l'histoire nous a forgé à ce type de glissement facile.

    filtrage charte confiance en lignefiltrage charte confiance en ligne
    filtrage charte confiance en lignefiltrage charte confiance en ligne

    Quotas d'envoi
    Par ailleurs, les opérateurs qui signeront ce texte destiné à faire d'internet un lieu sûr et aseptisé mettront en place une politique anti spam par des techniques de filtrage, mais encore par l'application de... quotas d'envoi (!) tout en participant activement au programme Signal Spam. Un programme qu'a soutenu financièrement le gouvernement à sa manière comme le révélait un rapport de Jean Dionis du Séjour (une seule personne aux manettes de cet outil de surveillance).

    Filtrage anti-mineur sur les sites pornos
    Le document comprend encore une avalanche d'obligations exigeant des comportements toujours pro-actifs contre les contenus dits préjudiciables (terme assez large pour partir de la pédophilie pour aller jusqu'au piratage, voir à ce titre cette actualité sur le lobbying de l'IFPI...). D'ailleurs pour les contenus pornographiques, les intermédiaires producteurs de contenus devront mettre en place un filtre anti-mineur sur tous les sites créés en France. Le choix technique n'est pas décrit.

    Suppression automatique des contenus "passifs"
    Le texte en ébauche indique aussi « la possibilité de prévoir contractuellement une modalité de suspension de la possibilité de publier, par des personnes autres que le créateur de l'espace, en l'absence de toute mise à jour, modification, intervention ou modération d'un contenu depuis trois mois ; ainsi que l'existence de mesures de suspension ou de suppression de l'espace ». Est-ce un droit à l'oubli automatique qui se dessine là ? Ou, plus vraisemblablement un moyen élégant de faire disparaitre des écrits, images, vidéos que l'on n'aura pas trouvés dans les trois mois de prescriptions des délits de presse ?

    Filtrage a priori des contenus sur les sites pour mineurs
    Ajoutons que les créateurs d'espace destinés aux mineurs devront impérativement contrôler les contenus postés a priori. On imagine assez facilement les effets d'une telle mesure sur Skyblog...

    Labellisation des contenus
    La Charte concoctée par le ministère de l'Intérieur dessine (page 2) également les premiers traits de la labellisation, qui permet de garantir la salubrité morale des données publiées en ligne. Les FAI et éditeurs devront là mettre une sorte de ligne d'appel d'urgence vers le ministère de l'Intérieur en cas de contenu ou comportement illicite.

    Signalement automatisé des infractions
    Les FAI, opérateurs et éditeurs en ligne devront volontairement signaler aux autorités les contenus et comportements interdits (racisme, haine raciale, crimes contre l'humanité, etc.) et les cas de pédophilie. Un comportement identique leur sera réclamé en cas de risque « immédiat pour la sécurité des personnes et des biens ». Un dispositif déjà annoncé à demi-mot par Alliot-Marie.

    Bien entendu, tout le monde condamnera la pédophilie, qui touche à l'humanité tout entière. Mais il faut se souvenir que dans les engagements Olivennes, les FAI ont à tester et éprouver dès 2008 des mesures de filtrage contre les atteintes aux droits d'auteur.

    Autant dire que ce qui sera validé pour lutter contre la pédophilie sera automatiquement réclamé des ayants droit. De fait, ce trou de souris  permet du même coup de remettre en cause les principes de responsabilité relative encadrés par la LCEN quant aux contenus véhiculés, pour transformer ces intermédiaires en futurs auxiliaires de police. On se souviendra des travaux menés sur ce terrain du côté du CSPLA, à la demande de Christine Albanel, elle-même. Sauf qu'en s'appuyant simplement sur les engagements des uns et des autres, cette Charte court-circuite le pouvoir législatif, pourtant plus à même de se pencher sur ces questions de société épineuses (voir à ce titre notre actualité).

    Baisse du formalisme des réquisitions judiciaires
    Enfin, le texte enfonce le clou : sans rougir, il demande aux FAI de s'efforcer de répondre avec le plus grand soin aux réquisitions et demandes officielles « non standards » et à apporter dans ce cas une première réponse (accusé de réception, indication du délai estimé de réponse à la demande, etc.).

    En clair, lorsqu'un ayant droit fera une demande directe d'identification d'IP à un FAI sans passer par la voie judiciaire, le bon FAI devra apporter toutes ses connaissances pour satisfaire ces demandes d'informations « officielles ». C'est une énième manifestation de la volonté de déconnecter le pouvoir judiciaire des contrôles de base sur les droits et liberté de chacun, en demandant aux FAI de ne pas respecter le Code de procédure civil ou pénal. 

    Des traces conservées docilement
    D'ailleurs, dans les derniers points de la Charte, le prestataire s'engagera à conserver à tour de bras toutes les adresses IP et autres données de connexion relative à du contenu un peu trop louche.

    Filtrage pédopornographique... et ensuite ?
    Précisons pour terminer que les FAI devront s'engager dans le filtrage le plus approprié des sites pédopornographiques. Le projet rejoint celui défendu par Nadine Morano, secrétaire d'État chargée de la Famille. Naturellement, cette demande intervient comme un test au regard de la loi Olivennes, comme nous l'exposions ci-dessus. Il est évident que les propriétaires de contenus (musique, cinéma) lorgneront de près ces mesures en cas d'efficacité. La lutte contre la pédopornographie peut facilement être un cheval de Troie qui cache d'autres mesures, en suscitant une vaste adhésion bien naturelle.

    C'est peu de le dire, les FAI ont accueilli avec une certaine tiédeur et retenue ce projet de Charte.

    Rédigée par <script type="text/javascript"><![CDATA[//><!]]></script>Marc Rees le vendredi 06 juin 2008 à 18h17 (83267 lectures)

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