• Mon deuxième parrain musical avec mon frêre, ca été Phil, qui complète mon éducation avec tout ce que j'avais loupé.(Buzzcocks, Ruts, undertones, Deep Purple, AC/DC, U roy, Culture, Cars, Cowboys International, Jam, etc...). on découvre ensemble Nirvana et quand même on prends une bonne baffe avec cettev déflagration qui vient de Seattle; la suivante qui nous secoura vraiment viendra de plus prét et s'appelera Miossec. A Rennes, je profite de la Fnac. Bonne sensation avec le premier Oasis. Grant Lee buffalo et "Fuzzy" m'impressionne. On rigole avec Lenny Kravitz et on passe complétement à côté des début de la House.

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  • Déménagement en pointe Bretagne, et là c'est l'orgie musicale (et alcoolique). Premier année d'internat et dernière (c'était un vrai caserne avec des curés en folie); mais beaucoup de fan de bon son... Début de l'année 88 et débarque le fameux "Christine" de house of love. Je l'enchaine avec echo and the bunnymen découvert un peu sur le tard ("ocean rain"). J'écoute l'émission de Bernard Lenoir le soir sous les draps. Grosse claque avec "daydream nation" de Sonic Youth. On découvre aussi les Pixies avec "Monkey's gone to heaven". Gros débat dans la cour entre les pro Noir Désir et les contre. On partage des K7 de Deadc can dance, Bauhaus et New order qui revient avec l'album "Technique". Grosse claque avec la Pop des housemartins pendant une péroide de vacances prés de Nevez. Enfin bref deux années trés riche où tout ce bouscule avec la musique de Madchester (Happy mondays, stone roses) et les shoegazers (Ride, my bloody valentine, chapterhouse)...Plein d'autre choses qui sont passés (Megacity 4, neds atomic dustbin, Lush, etc...). On hallucine sur le label d'Alan Mc Gee, Creation et sur Vaughan olliver pour les pochettes pour le label 4AD.

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  • Pendant cette période, j'ai un peu développé mon gout personnel. Fan notoire de Cure au collège, je commencais aussi à découvrir tous les trésors de la new wave. Grosse émotions un soir d'été sous la tente au camping quand j'entends pour la première fois "Atmosphere" de Joy Division, c'était un moment assez magique chargé d'émotions. Toujours pendant cette période de camping en Bretagne, Deux mecs nous prennent en stop, mon pote et moi, dans une Visa couleur café crème du plus bel effet mais avec les sisters of mercy à fond la caisse..."I hear the sound of a big machine", c'était assez puissant. Voyage scolaire en angleterre (Exceter) toujours avec le même pote; on rencontre une super nana style bien New wave dans le Ferry (St Malo-Portsmouth). Ca l'a fait délirer qu'on écoute ces trucs là à notre âge, on partage des casettes de Lloyd cole and the commotions... Philou et moi on tombe aussi sec amoureux de cette meuf, Anny. A Exceter, j'ai à peine le temps d'acheter le CD "Tinderbox" de Siouxsie and the Banshees que je me fais voler mon fric dans une salle de jeu, galère...Je découvre New Order avec "dreams never end" chez un autre pote (chez qui on fait semblant de faire de la musique avec des cartons et des ceintres pour la batterie, un balai pour la basse et une raquette de tennis pour la guitare. On singe "Killing an arab" de Cure. On commence à parler de Noisy Pop avec la découverte de Jesus and Mary chain, on se bastonne pour savoir qui achète "darklands" et qui achète "Barbed wire kisses". Je prends à dépit la compil. Au dos de la copie K7 de "Darklands", les woodentops. Je tombe aussi sur l'album "Green" de REM.

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  • Aprés la découverte de ces deux mamelles nourriciéres qu'étaient le "London Calling" et le "3 imaginary boys", mon imaginaire, aprés avoir été ravi par le film "yellow submarine", a été frappé par Siouxsie and the banshees lors d'un repas chez des amis de mes parents. Imcompréhension mais tolérance des parents devant la mine extasiée du poupom les yeux captivés par la grande pétresse new wave (merci les Enfants du rock). Pendant le même période, rejet complet de la voix de Johnny Rotten des sex pistols, mais énorme kifs pour Dexys midnight runners et leur northen soul matinée de punk, souvenir également de Lena Lovitch. Dans les Français, Dutronc, Gainsbourg, starshooter et Couture tenaient le haut du pavé. j'avoue partiellement honteux avoir adoré Renaud (en gros jusqu'à "Putain de camion").Je me proménais dans la collection de disque du grand frêre, extrémement ecclectique...souvenirs mélés de Police, Scorpions (avec cette pochette où un homme étire un chewing gum sur la poitrine d'une blonde dénudée), Marley, Third world ("96°"), Ultravox, Neil young,... Mon frêre me laissait un libre accés à tout sans jamais me forcé... Il aimait beaucoup les trucs allemands (Nina Hagen, Klaus Nomi), et ayant sa période baba cool certains trucs comme François Béranger, Ange, Dick Annegard, Higelin (ca m'a fait bizarre de réentende "Bruxelles" repris par Bashung) etc...Mon cousin Alain en Bretagne lui m'en remet une couche sur Les U2, Police et autres téléphone.

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  • Marley, un des plus grands song writter, chose que l'on oublie derrière le folklore rastafari. "rastaman vibration" est un album moins courru que par exemple "exodus" ou les nombreux best of. C'est pourtant un excellent album de Marley. Peu d'artiste auront réussi à avoir cette constance à faire des bons disques. Qu'est ce qu'il y a à jetter dans la discographie de Marley? ben ouais, rien. "catch a fire" "burning" "natty dread" "kaya" etc...








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