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Nacereddine Dinet : un artiste hors du commun
06/12/2004 - Lu 323 fois
«Nasreddine Dinet est véritablement un artiste qui maîtrisait son métier et un homme de cœur et d'esprit, animé par une foi très sincère. C'est aussi un être attachant et pourtant solitaire...»
Mohammed Racim
Cité du bonheur de vivre, comme l'évoque si bien son nom, Bou-Saada éclôt au sein d'une des oasis les plus attachantes d'Algérie, dans un site merveilleux où s'accordent l'azur du ciel, Je profil des dunes, la ligne infinie de l'horizon saharien...
C'est là que repose le corps de Nasreddine Dinet, grand peintre et humaniste de l'Algérie, sous une modeste kouba blanche, baignée par l'intense lumière du Sud et bercée par la douce chanson des palmiers et l'air nostalgique de la flûte bédouine...
Pourtant son origine européenne, sa famille bourgeoise et catholique, son éducation occidentale étaient loin de laisser prévoir l'extraordinaire destinée de Dinet.
En effet, Alphonse Etienne Dinet est né à Paris, le 28 mars 1861, d'une famille originaire du Loiret.
Son père était avoué près du Tribunal de la Seine, son grand-père, ingénieur, fils d'un procureur du roi à Fontainebleau. Sa mère, Louise Marie Adèle Boucher était elle-même fille d'avoué.
Après de bonnes études secondaires couronnées par son succès au baccalauréat, il a accès à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. Dinet obtient une médaille à sa sortie des Beaux-Arts. La question du choix de sa carrière est âprement débattue en famille, et sa sœur rapporte à ce sujet « qu'il serait en effet, tout naturel qu'il se décidât à faire son droit en vue de reprendre l'étude paternelle... ». Mais le jeune Dinet refuse et décide de se lancer dans la peinture pour permettre à « ses dons exceptionnels »de s'épanouir. Sa première œuvre, « La Mère Clotilde » fut bien accueillie par les critiques et les amateurs du Salon de 1882.11 s'agissait du portrait d'une vieille paysanne avec sa coiffe blanche caractéristique.
En 1883, il reçoit une mention honorable pour son « Rocher de Samois »(Fontainebleau) et fait son premier voyage en Algérie. En 1884, le Salon du palais de l'industrie lui décerne une troisième médaille et surtout une bourse qui lui permet de repartir en Algérie.
Il fait alors un grand périple jusqu'à Ouargla et Laghouat. C'est la découverte décisive et émerveillée du Sud qui va profondément marquer la vie de Dinet. Parmi les œuvres lumineuses rapportées de ce voyage, figure l'admirable vue des «Terrasses de Laghouat» (exposée au Musée National des Beaux-Arts .d'Alger).
En 1889, il obtient la médaille d'argent à l'Exposition Universelle de Paris.
Cette même année, Dinet fait la connaissance d'un jeune Algérien, Slimane Ben Brahim Baamer dont l'amitié devait lui rester toujours fidèle. Slimane Ben Brahim fut désormais associé à toute sa vie artistique et spirituelle. En effet, à partir de 1905, Dinet s'installe définitivement à Bou-Saada tout en continuant à effectuer de fréquents voyages en France. Il habite alors une modeste demeure au plafond de terre et de roseaux soutenu par les traditionnelles solives de thuya.
Guidé par Slimane Ben Brahim, Dinet put avoir accès aux milieux algériens, connaître le pays et faire d'innombrables voyages en caravane a travers le désert...
Il apprit aussi à parler l'arabe, à comprendre l'âme algérienne, les us et coutumes et à aimer la religion musulmane au point de se convertir lui-même à l'islam en 1913 sous le glorieux nom de Nasreddine, « Le triomphe de la religion ». Sidi Thameur, saint personnage de la région du Hodna n'a-t-il pas affirmé « Béni soit celui qui reste plus de quarante jours à Bou-Saada ! »
Cette conversion à l'islam a déclenché une sourde campagne de calomnies, amplifiée au fur et à mesure que Nasreddine Dinet persévérait dans sa voie.
Ses adversaires européens les plus déclarés commencèrent à crier au « traître de l'Occident». Pourtant, esprit lucide et profond, c'est en pleine connaissance de cause et avec tout le sérieux et la sincérité dont il faisait preuve que Dinet avait choisi. Obéissant à des raisons impérieuses que lui dictait sa conscience, Nasreddine Dinet ne se livrait ni à un ritualisme superficiel ni à une expérience exotique. Il s'efforçait de suivre strictement les préceptes orthodoxes de la religion musulmane.
Animé par une foi sincère, Nasreddine Dinet se révélait alors un homme d'action et de spiritualité, doté d'une personnalité qui séduisait tous ceux qui l'approchaient. Alerte et prompt à s'enflammer, il s'imposait dans ses entretiens par l'élévation de sa pensée, l'étendue de sa culture et la force de son caractère.
De taille moyenne, plutôt mince, il avait l'air distingué. Il s'habillait correctement et sobrement car il était contre tout travesti. Ce qui frappait dans son visage, c 'était l'éclat vif de ses yeux noirs qui témoignaient d'une vie intérieure intense et d'une réelle sensibilité.
L'artiste Bou-Saadi met alors tout son talent pour faire connaître la vie du désert, l'âme des Algériens, leur condition sociale...
Léonce Bénédite note en 1911 dans son journal que Dinet « ne veut plus peindre pour peindre mais se servir de la peinture comme d'un moyen d'expression pour traduire sa pensée, sans coquetterie d'artiste...
Sa production picturale ne dépassait pas une dizaine de tableaux par an et était alors appréciée par le monde des arts. Les musées de plusieurs capitales achètent des œuvres de Dinet (Musées de Berlin, Paris, Sydney, Tokyo...).
On en trouvait aussi chez les grands collectionneurs européens et algériens. En fait, pendant plusieurs années, ses œuvres n'arrivaient pas à son marchand de tableaux de la galerie Allard de Paris et étaient acquises aussitôt terminées. En décembre 1927, Dinet avait confirmé sa conversion à l'islam en prononçant solennellement devant le mufti d'Alger, la proclamation de foi, « Ech-Chahada ». Lorsque la nouvelle fut connue, ses anciens admirateurs commencèrent à le critiquer. Sa peinture devint, chose étrange, brusquement suspecte. Evitant de lui reprocher sa conversion, c'est à son art qu'on s'attaquait pour déchirer ses lauriers et transformer ses chefs-d'oeuvre en « oripeaux de l'orientalisme ». L'ostracisme des puissants groupes de pression coloniaux de l'époque fit échouer en 1929 un projet de fondation d'un musée consacré aux œuvres de Dinet. Cependant Nasreddine Dinet poursuit résolument sa voie, guidé par une foi profonde et agissante.
Au mois de mai 1929, à l'âge de 68 ans, il décide d'accomplir en bon musulman, le pèlerinage à La Mecque, malgré ses appréhensions et sa crainte de ne pouvoir résister aux fatigues et aux émotions de ce long voyage.
« J'ai vécu les impressions les plus sublimes de toute mon existence. Rien dans le monde, ni dans le présent, ni dans le passé, ne peut donner une idée de ce que nous avons vu comme foi monothéiste, comme égalité et comme fraternité entre deux cent cinquante mille êtres humains de toutes les races, pressés les uns contre les autres, dans le plus effroyable désert », écrit-il, de Djeddah.
Mais, peu de temps après son retour des Lieux saints, le 24 décembre 1929, El Hadj Nasreddine succombait, à Paris, à une courte et fatale maladie. Un service funèbre eut lieu à la mosquée de Paris. Puis, selon son propre vœu, son corps fut ramené à Bou-Saada où il fut enterré le 12 janvier 1930, suivi par une foule immense d'amis et d'admirateurs.
C'est à l'ombre des palmiers de l'oasis que se dresse sa tombe dominant le désert. Ce désert qui fut sa passion et qui l'aida à composer un hymne merveilleux à la gloire d'un pays, de son pays...
Quelques mois après sa mort, paraissait le « Pèlerinage à la Maison sacrée d'Allah », œuvre de piété qui témoigne à la fois de l'ampleur de ses connaissances et de l'ardeur de sa foi.
Suit alors une longue période de dédain et de mépris pour les œuvres de Nasreddine Dinet. Il faudra attendre la libération de l'Algérie pour qu'elles connaissent un regain d'intérêt et une juste réhabilitation.
Ses tableaux figurent dès lors dans plusieurs expositions organisées tant à Alger que dans de nombreuses capitales européennes et africaines.
Enfin, un musée consacré à Nasreddine Dinet et à Bou-Saada verra bientôt le jour dans l'oasis qui fut son refuge et son éden.
Nasreddine Dinet, un érudit et un croyant
Nasreddine ne s'est pas confiné dans son rôle de peintre, mais s'est adonné à la recherche de la vérité, lisant beaucoup et rédigeant de nombreux essais à caractère littéraire, historique et religieux.
Les écrits personnels ou les livres qu'il a publiés avec son ami, Slimane Ben Ibrahim, témoignent de sa volonté de démystifier l'opinion de ses contemporains sur les idées préconçues à l'égard de l'Islam.
Aussi fervent et éclairé que les autres fidèles musulmans, Nasreddine Dinet voulait contribuer à rendre à l'Islam la pureté que des confréries maraboutiques tentaient de ternir, poussées par l'obscurantisme et les manœuvres colonialistes.
Il a dénoncé, notamment dans « Khadra », le comportement indigne de certains « marabouts » de Zaouia soi-disant « Chorfa » qui arguaient de leur origine noble pour s'attribuer un pouvoir occulte incommensurable. Nasreddine rappelait à ces « suppôts» de l'oppression que Dieu n'a pas d'associé : « La Ilaha Illa Allah ».
Dans « L'Orient vu de l'Occident », il met en garde contre l'irrespect ou l'ignorance d'un grand nombre d'orientalistes occidentaux qui n'ont pas su interpréter les valeurs de l'islam. Il fustige l'hypocrisie de Louis Bertrand, les puériles invectives du Père Lammens et la malveillance de Léon Roches qui avait simulé d'être converti à l'Islam, à des fins inavouables...
Un maître de la peinture algérienne
Cependant le grand moyen d'expression de Dinet a été celui de l'art. Son don développé de l'observation lui permit de saisir sur le vif les traits essentiels comme le moindre détail nécessaire à la composition de œuvre. Dessinateur excellent, il a su également dompter sa palette magique pour utiliser les effets de la couleur.
« Il ajoutait à son instinctive sensation (de la vie) ses dons naturels d'observation qui il nous le dira lui-même un jour lui permettaient de retenir extraordinairement les expressions et les couleurs », mentionne sa sœur dans la biographie de Dinet.
En effet, coloriste merveilleux il reconstitue, somptueusement, les aurores et les crépuscules sur les dunes. Profond psychologue, il interprète magistralement l'âme bédouine.
La « Vue de M'Sila », les « Charmeurs de serpents », « Esclave d'Amour et Lumière des Yeux », « La Femme abandonnée », « Les Guetteurs », « Jeunes Filles arabes » constituent parmi tant d'autres, des chefs-d'oeuvre où la réalité et le mirage se côtoient pour créer une harmonie remarquable.
Il a également illustré les ouvrages de « Antar » en 1898, de « Rabie El-Qouloub » (le printemps des cœurs) en 1902, « Mirages » en 1906, « Tableaux de la Vie arabe» en 1908, «El-Faïafi wa El Qifar» (le désert) en 1911, «Khadra» en 1929...
Dès 1915, le grand miniaturiste algérien Mohammed Racim collabore avec Dinet pour les planches d'enluminures qui viendront enrichir « La Vie du Prophète Mohammed » «Khadra » et l'ouvrage posthume « Pèlerinage à la Maison sacrée d'Allah».
Cette collaboration permit aux deux artistes de tisser des liens fructueux dans le domaine de l'art et de la culture.
Par ailleurs, esprit curieux et méthodique, Dinet a consacré un temps important et des efforts inlassables pour étudier les problèmes techniques des mélanges de couleurs, de l'altération des toiles peintes, de la conservation physico-chimique des œuvres d'art et même du procédé de la peinture à l’œuf.
Ces recherches ont été exposées dans un ouvrage à caractère scientifique qu'il a publié en 1926, sur « Les Fléaux de la Peinture et les Moyens de les combattre ».
Il considère par ailleurs que la peinture abstraite contemporaine a eu de prestigieux précurseurs qui lui ont tracé la voie, il y a des siècles. Ce sont les maîtres de l'art décoratif musulman qui ont su mettre en valeur de belles matières pour décorer l'architecture civile et religieuse de mille entrelacs, de savants jeux d'arabesques et d'élégants motifs géométriques.
Du témoignage social à la vision des valeurs spirituelles
Cependant Dinet a choisi d'être un peintre figuratif. Qu'il traite de portraits, de paysages ou de sujets narratifs et allégoriques, sa peinture, magistralement rehaussée par l'harmonie des couleurs et la luminosité de l'atmosphère, l'a fait comparer à Ingres, à Courbet, à Manet ou au Suédois Zorn.
Mais à une époque où d'autres artistes continuent à puiser leur inspiration dans l'antiquité et la mythologie, Dinet se tourne vers le monde arabe pour le faire comprendre et le faire aimer.
Son art de l'exactitude recèle également une recherche métaphorique qui exprime une sensibilité engagée au service d'un idéal.
Car, à la précision de l'observation, s'ajoute l'intuition de la spiritualité qui se reflète chez ses personnages pour révéler leur âme, leur condition sociale et l'environnement culturel.
C'est ainsi que le recueillement, bien plus « El Khouchoua » sont pleinement restitués dans le tableau de la prière qui prend toute sa signification grâce à l'harmonie entre la vigueur sereine des hommes et l'ardeur de la foi dans l'attitude, le geste, le regard...
Son style figuratif n'est pas une manière de rivaliser avec la photographie mais grâce à une technique sûre et une maîtrise de la couleur, Dinet s'efforce de trouver un langage simple pour exprimer une réalité complexe qui échapperait autrement.
L'émouvante « Femme abandonnée » ne sourit pas, immobile, perdue dans sa contemplation de l'infini du désert, car elle reflète l'image de la solitude et du désespoir, de la résignation, face à la fatalité.
Cependant, la chaude lumière du désert qui fut l'inépuisable inspiratrice de Dinet lui permit également de peindre des nus dans des paysages féeriques.
Au-delà de la femme éphémère des Oulad Naïl, c'est le mythe de « Khadra »où la condition imposée à certaines femmes qu'il représente dans leur plasticité simple et crue. Mais la volupté émanant de ces teintes lumineuses et des couleurs chatoyantes exprime la beauté sans jamais sombrer dans la vulgarité.
D'autres toiles d'une tonalité flamboyante illustrent des visages radieux, le sourire angélique de l'enfant, la tristesse des êtres, la lumière et l'espace.
Accessible aux masses, sa peinture évoque en fait la condition humaine. Un pathétisme discret et une certaine recherche pour créer l'ambiance le rapprochent quelque peu de l'impressionnisme, mais son originalité réside essentiellement dans la manière de camper ses personnages et de marquer leur figure du sceau du destin.
L'un des plus saisissants de ces portraits se découvre dans le tableau de « L'Aveugle et l'Insouciance de la Jeunesse » qui raconte l'histoire de deux générations à travers la même destinée...
Voilà pourquoi, il suffit de regarder le visage ridé et émacié de la vieille femme aveugle pour sentir le poids des années, de la misère, l'empreinte de la souffrance atténuée, semble-t-il, par une foi inébranlable. Et, à côté, l'image optimiste d'une jeunesse trépidante d'espoir, assoiffée de connaissance et confiante en l'avenir.
Enfin, l'injustice, la misère et l'aliénation engendrées par le système de domination colonialiste sont souvent dénoncées courageusement dans des scènes émouvantes telles celles de «L'Indigénat» ou de «La Cueillette des Abricots»
En somme, c'est une vision des êtres et de leurs valeurs culturelle, psychologique et sociale qui sont autant de thèmes de réflexion et parfois d'amères méditations...
Nous retrouvons ainsi le fil d'Ariane qui relie la production artistique et littéraire de Nasreddine et rappelle l'entité humaniste de son œuvre et de sa vie.
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1 commentaire -
FFS
Front des Forces Socialistes
Mémorandum du Front des Forces Socialistes
sur la situation des Droits de l'Homme en Algérie
A Madame Louise Harbour
Haut Commissaire des Nations Unies aux Droits de l'Homme
Palais Wilson 94, rue de Montrillant 1202 Genève - Suisse
Il est devenu tristement banal pour tous les défenseurs des Droits de l'Homme de faire inlassablement le constat de l'inexistence d'une véritable conscience morale au sein d'une communauté internationale devant laquelle les peuples opprimés iraient porter leurs doléances.
La composition du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies qui vient d'être installé n'est pas pour rassurer. Des Etats notoirement connus pour pratiquer toutes les violations de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et des textes y afférents, siègent aujourd'hui dans un conseil sous l'égide des Nations- unies. Certains d'entre eux n'y ont pas été admis au motif apparent qu'ils n'avaient toujours pas signé les Pactes des Droits de l'Homme ainsi que les Conventions Humanitaires.
Or, les autorités qui se sont imposées à notre pays les ont signé et même paraphé depuis bien des années, ce qui ne les a pas gêné pour les violer en permanence depuis quatre décennies, à ciel ouvert, massivement et le plus souvent systématiquement.
Dans leur rhétorique à usage interne les Etats comme l'Algérie ne se privent pas de mettre en exergue les scandaleuses violations commises par des puissances comme les USA en Irak pour légitimer leur action.
En ces temps de multiples reculs dans les faits des notions mêmes de civilisation humaine et d'universalité des Droits, nous nous garderons bien d'entrer dans la hiérarchisation des barbaries en comparant ceux qui violent les droits de peuples étrangers tout en respectant ceux de leurs citoyens, et les pouvoirs qui ne se maintiennent au pouvoir que par la négation de leurs engagements internationaux et le mépris des règles minima du droit national dans leurs pratiques quotidiennes. De même qu'il n'y a pas de différence de nature entre, d'une part, certains de ces pays transgresseurs qui, anticipant leurs déconvenues n'avaient même pas osé poser leurs candidatures au CDHNU, et d'autre part une poignée de leurs semblables , qui, eux, furent élus, sans autre forme de procès.
D'évidence, ce sont principalement les niveaux de puissance politique et les complicités internationales, actives ou passives, qui avaient joué en faveur de l'admission de ces derniers. Outre le système de quotas régionaux et le vote à la majorité simple à l'assemblée générale de l'ONU, dominée par les dictatures du " Tiers Monde ".
Pour nous, c'est le respect de l'intégrité morale et physique des individus et des peuples qui est la conquête la plus noble de la civilisation humaine. Et c'est à cette dernière que l'on s'attaque à chaque fois que l'on banalise la torture, le meurtre et toutes les indignités qui peuvent être commises à l'encontre des êtres humains au nom d'un impératif supérieur quel qu'il soit.
Il semble bien pourtant que ce vingt et unième siècle qu'on avait annoncé en fanfare comme celui de toutes les conquêtes démocratiques soit en train de devenir celui de leur transgression brutale ou de leur subtile contournement.
Il est peu probable que les sociétés humaines, dans la diversité des conditions qu'elles traversent, se taisent devant un tel recul imposé par des pouvoirs et des institutions internationales aux yeux desquels la dignité de l'Homme a cessé d'être une valeur en soi.
La révolution algérienne qui a mené son peuple vers l'Indépendance l'a fait en référence permanente à la souveraineté des peuples et des citoyens, qui constituaient les plus hautes victoires de l'humanité sur l'Ordre international pan étatique, but et sanctuaire des totalitarismes barbares de droite et de gauche. C'est au nom des Droits de l'Homme, et du Droit à l'autodétermination, le plus primordial et fondateur de ces droits, que la longue et opiniâtre résistance du peuple algérien a fini par faire reconnaître le gouvernement provisoire algérien en exil par la communauté et les institutions internationales, alors même qu'il ne pouvait exciper d'une assise territoriale significative dans notre pays, à l'instar de la révolution indonésienne.
Cette légitimation fut une rupture historique avec le droit de conquête non écrit, mais non moins gravé dans le marbre coutumier d'un droit international, façonné et imposé unilatéralement au monde par les puissances occidentales ; elle fut révolutionnaire et exemplaire pour les peuples du Tiers-monde, portés et unis par la dynamique de la décolonisation.
Faut-il rappeler que le référendum portant sur le Droit du peuple algérien à l'autodétermination qui fut adopté massivement par les Algériennes et Algériens, le 3 juillet 1962, fut l a raison d'être incontestée et incontestable de l'Etat algérien tant sur le plan national qu'international ? C'est à l'Assemblée Nationale Constituante, censée être élue dans le respect des candidatures plurielles et en toute transparence, que revenait la prérogative fondatrice d'élaborer la Constitution de cet Etat Démocratique et Social. Etat rêvé par des générations brimées et affamées de patriotes et qualifié très précisément de but de guerre par la proclamation qui avait annoncé le déclenchement de la lutte armée au 1er novembre 1954.
Le système politique qui, aujourd'hui, continue de se réclamer de la révolution algérienne, pense avoir définitivement effacé de la mémoire collective, la responsabilité pleine et entière qu'il avait déjà assumé dans la confiscation des compétences de l'Assemblée Nationale Constituante et, par voie de conséquence, dans la préfabrication du premier modèle constitutionnel stalino-baathiste.
Le coup de force perpétré contre le Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne, par la camarilla militaro-policière au lendemain même de l'indépendance, ne fut pas seulement une opération de déstabilisation politique qui a dégénéré en luttes de pouvoir meurtrières et insensées ; il s'inscrivait surtout dans une tactique stalinienne planifiée pour s'emparer de tout le dispositif préparatoire de l'élection de l'Assemblée Nationale Constituante, avec pour finalité stratégique de prendre en otage l'édification des institutions étatiques. Dès lors, étant donné le viol et l'extinction du droit à l'autodétermination qui constituait le fondement légitime de l'Etat algérien, celui-ci n'est pas seulement mal parti, mais il est bricolé pour disparaître progressivement, au profit d'un système d'instances privatisées et jamais comptables. Ni devant des institutions de la communauté nationale librement élues, ni devant les instances internationales des Droits de l'Homme.
Décidément, le principe de la compétence universelle en matière de violations des Droits de l'Homme, s'arrête aux frontières de notre pays ; comme si la souveraineté nationale peut être exceptionnellement absolue en Algérie, même lorsqu'il s'agit de violations systématiques et massives des Droits de la personne humaine. Comme si le beau monde du millenarium tirait un trait sur les pertes et les souffrances endurées par notre peuple au cours d'une terrible guerre de reconquête coloniale menée au nom d'une autre et identique souveraineté absolue... dont on découvrira, plus tard qu'elle n'était que fiction juridique et colossale mystification politique.
Ainsi, le système politique algérien, autant par la longévité de sa " gouvernance " à coups d'Etat répétés et de fraudes électorales, que par ses options internationales et ses menées militantes hostiles à la montée universelle des Droits de la personne humaine, se trouve aux antipodes des valeurs et des idéaux de cette révolution.
Au contraire, loin d'être libérateur, son rôle ne peut s'inscrire que dans cette logique destructrice de la domination sans freins qui risque de pervertir les relations internationales et de barrer la route à toutes les solutions alternatives susceptibles de reconstruire la paix et la sécurité internationales et de consolider les idéaux de liberté, de justice et de solidarité qui en sont les garanties sine qua non .
Les algériens comme les autres peuples l'ont bien compris et le paient quotidiennement de leurs libertés et de leurs souffrances. Libre aux institutions internationales de continuer à ignorer l'érosion de leur crédit auprès des peuples, à force de compromissions honteuses. Elles ne pourront, en tout cas, plus prétendre qu'elles ne savaient pas.
Depuis la promulgation de l'Etat d'urgence en février 1992 suite à l'annulation par le régime anti-populaire en place des premières élections pluralistes du pays le pouvoir algérien s'est fixé pour mission permanente la violation des Droits de l'Homme en vue de se maintenir.
A l'ombre de cet Etat d'urgence - que les autorités maintiennent en dépit des multiples demandes d'abrogation émanant des défenseurs des Droits de l'Homme, des partis politiques et des syndicats, l'Etat algérien s'est rendu coupable de :
A- L'ouverture arbitraire et en dehors de toute procédure légale de camps de détention dans le sud du pays
Les milliers de personnes qui détenues de longs mois ont été, de manière totalement illégale, enlevées et soumises à des traitements dégradants. Certains y ont trouvé la mort. Tous se sont retrouvés sans recours face à la machine répressive du pouvoir. Si la plupart des personnes détenues dans ces camps ont été relâchées, TOUTES se sont retrouvées face à une situation de déni total de leurs droits les plus élémentaires.
B- Pratique systématique de la torture et des traitements dégradants
* L'Algérie a constamment refusé l'envoi par la commission des droits de l'Homme de l'ONU d'un Rapporteur spécial sur la torture.
C- Pratique massive de l'enlèvement et de la séquestration arbitraire
D- Pratique massive des disparitions forcées qui a concerné des milliers de personnes
* L'Algérie a constamment refusé l'envoi par la commission des droits de l'Homme de l'ONU d'un Rapporteur spécial sur les disparitions forcées
E- Pratique des exécutions extrajudiciaires
* L'Algérie a constamment refusé l'envoi par la commission des droits de l'Homme de l'ONU d'un Rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires.
F- La violation du Droit de la défense et la mise en place d'un système judiciaire totalement asservi au Pouvoir
G- La violation de la liberté d'expression et de la presse par :
- le refus d'octroi de l'agrément pour la création d'une publication ;
- l'interdiction de titres déjà existants ;
- le harcèlement judiciaire des journalistes ;
- l'instauration de comités de lecture au niveau des imprimeries ( Imprimatur )
* cette dernière a été abolie sans pour autant que les pouvoirs publics reconnaissent les torts infligés aux publications concernées, ni ne procèdent à leur indemnisation.
H- La violation des Droits de créer des associations ou des partis politiques par le refus de l'octroi de l'agrément
I- La violation des libertés syndicales par :
- le refus de l'octroi de l'agrément aux syndicats autonomes ;
- le recours à la machine judiciaire pour l'interdiction des grèves ;
- le harcèlement administratif, policier et judiciaire des syndicalistes.
J- La non-assistance à populations en danger lors des massacres à grande échelle ayant fait des milliers de victimes : (Bentalha, Raïs, Remka, Had Chekala)
* L'Algérie a constamment refusé la constitution d'une commission d'enquête indépendante sur les massacres, et les assassinats ciblés.
K- La mise en place d'un système de fraude électorale qui transforme toute consultation électorale en une mascarade
L- La dissolution d'assemblées légalement élues en violation des dispositions légales en vigueur. (Kabylie 2005)
M- La non reconnaissance de l'égalité juridique entre les hommes et les femmes
Par ailleurs, l'adoption de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, le 29 septembre 2005, accorde de fait, l'impunité aux criminels des groupes armés autant qu'à ceux des services de sécurité.
En interdisant aux victimes de déposer plainte ou de témoigner sur les violations commises de puis 1992, le pouvoir algérien procède à l'absolution des criminels. En plus de la consécration de l'impunité par cette charte décidée unilatéralement par le pouvoir et adoptée à l'issue d'un referendum largement boycotté par la population, le pouvoir algérien entend occulter toute responsabilité dans un conflit qui a fait 200.000 morts, des milliers de disparus, des milliers d'handicapés, des milliers de personnes déplacées.
L'indemnisation des victimes et des bourreaux mis sur un même pied d'égalité, ajoutée à l'interdiction de toute demande de vérité sur les crimes commis durant plus d'une décennie crée une situation insupportable pour toute la société algérienne obligée de subir en silence l'affront de crimes impunis et de criminels en liberté.
Obsédé par le soucis de son auto amnistie, le Pouvoir algérien vient d'infliger à la société algérienne un crime supplémentaire en lui imposant de vivre sous un régime de crimes sans criminels !
Les conséquences sociales, politiques et morales d'une telle dissolution du Droit par l'adoption d'une loi défiant tous les critères de vie en société civilisée sont lourdes de conséquences. L'état de délabrement moral et politique d'un pays qui vit au rythme des émeutes et de la répression au quotidien est porteur de tous les dangers d'implosion. La hausse vertigineuse de la criminalité à tous les échelons de la société, la multiplication des actes de vengeance individuels et la persistance d'un « terrorisme de basse intensité » font peser sur la société algérienne les risques d'un basculement progressif dans l'anomie.
Cette situation intolérable n'est ni une fatalité ni un accident de parcours, elle est le fruit d'une politique qui a fait de l'usage de la FORCE et de la violence le seul droit en vigueur.
le 23 mai 2006
Hocine Aït Ahmed
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Le Front des forces socialistes a réagi, hier, en rendant publique une déclaration à la proposition du FLN à la faveur d’un changement imminent de la constitution.
Nul étonnement pour le FFS qui considère que c’est là un procédé classique que le système a de tout temps utilisé à la faveur d’une «alternance clanique». «Cette opération n’a rien d’inédit. A toujours vouloir fuir les vraies solutions, le système répète insidieusement et impunément les mêmes manœuvres : occulter les impasses politiques par le recours au plébiscite, sous peine d’effondrement de la Révolution, des institutions, de l’Etat, ou de la République…», souligne la déclaration du plus vieux parti de l’opposition. Le FFS en appelle à la déconstruction de cette énième manœuvre par le rassemblement des forces démocratiques. Se référant à l’histoire de l’Algérie indépendante avec tous ces chapitres, le FFS rappelle que déjà en 1963, une constitution a été concoctée dans un cinéma pour la substituer à la première représentation nationale. «L’impératif et l’urgence officiels étaient de sauver la révolution et la finalité de la manœuvre était d’asseoir le pouvoir d’un clan par l’intronisation d’un homme providentiel : Ben Bella.» La constitution ne sauva pas Ben Bella qui est évincé par Boumediene aidé par le Conseil de la révolution. Seconde manœuvre pour sauver cette fois-ci les institutions en 1976 où «une charte Constitution a plébiscité l’impératif et l’urgence de mettre en place des institutions pérennes devant survivre aux hommes. Finalité : la consécration du chef providentiel Boumediene», relève la déclaration du FFS. Cette dernière évoque en outre le remplacement de Boumediene par Chadli à travers le truchement du conseil de la révolution. Le FFS se souvient aussi de 1989 : «après une révision quatre années auparavant pour desceller l’ancienne constitution, le système, malade de ses équilibres internes, décide unilatéralement d’un nouveau texte constitutionnel. L’impératif et l’urgence étaient une libéralisation de l’espace politique. Finalité de la manœuvre : donner un nouveau souffle au système.» S’ensuivra, après 1991 et 1992, la suspension de la constitution, des institutions bricolées et des responsables cooptés. «L’impératif et l’urgence officiels étaient de sauver la République, et finalité : une reprise en main d’un processus d’ouverture». En 1995, «une constitution de plus fut adoptée. Finalité : consécration de l’option éradicatrice et du tout sécuritaire contre toute idée de réconciliation et de transition démocratique». La déclaration fait référence aussi au retour de Bouteflika comme étant le retour à la case départ : «Souvenons-nous de la démission anticipée en 1998 de Zeroual. L’impératif du moment était la réconciliation nationale ; finalité : la restauration de l’ordre ancien qui impose la paix sociale par la domination et la pacification.» De ces faits, le FFS tire le constat que «par l’autolégitimation, le système et ses démembrements (services parallèles) loin de toute norme universelle de représentation, a privatisé l’Etat, sans jamais avoir eu à rendre des comptes… Depuis quarante ans, les mêmes factions se relaient dans des alternances claniques», précise la déclaration du FFS signée par son premier secrétaire, Ali Laskri. Cette dernière estime que ce qui se prépare aujourd’hui est un remake des scénarios précédents : «La baudruche médiatico-mondaine de la bipolarisation Benflis- Bouteflika à peine crevée, le sérail veut nous entraîner dans ses contorsions tragicomiques. Une alliance aux liens indéfectibles autour de l’homme providentiel se dévoile comme le nœud gordien d’un psychodrame annoncé». Quelle solution ? Le FFS note que son président Hocine Aït-Ahmed et le parti se sont de tout temps opposés «aux stratégies d’accompagnement, de détournement, de putsh, de neutralisation, de régression et de montage de grandes messes à usage de rouleau compresseur». La déclaration du FFS qualifie le projet de changement de la constitution «d’agitation sans résultats prometteurs pour l’avenir démocratique du pays» qui doit être démonté par le recentrage du débat et de l’intérêt politico-médiatique sur les questions essentielles et existentielles du devenir du pays. Le FFS en appelle, ainsi, au recensement de toutes les potentialités démocratiques qui doivent se rendre visibles et se concerter.
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Pétition
Algérie : contre l'autoamnistie, oui à la justice, non à l'impunité !
Le 27 février 2006, le régime d'Alger a promulgué une ordonnance de mise en œuvre des dispositions de la « Charte sur la paix et la réconciliation nationale » (adoptée en septembre 2005 par un référendum aux résultats largement truqués). Sous le prétexte de mettre un terme à la période sanglante inaugurée par le coup d'État de janvier 1992, le régime d'Alger décrète l'impunité des assassins, qu'il s'agisse des membres des groupes armés se réclamant de l'islam ou des « forces de défense et de sécurité de la République, toutes composantes confondues ». Et il interdit, sous peine d'emprisonnement, d'évoquer sous quelque forme que ce soit la responsabilité des parties qui ont organisé les violations du droit et ordonné, couvert ou justifié les atrocités commises depuis près de quinze ans.
Les parents de victimes, les familles de disparus sont sommées de se taire elle n'auront plus le droit de porter plainte et d'oublier contre une indemnisation financière, méthode honteuse où l'outrage le dispute à l'aveuglement. Mais comment effacer la mer de sang et d'horreurs qui a submergé la société algérienne ? La seconde guerre d'Algérie qui a porté à son paroxysme les formes perverses et inhumaines de guérilla et contre-guérilla développées au cours de la guerre d'indépendance par les forces coloniales a coûté près de 200 000 morts, 20 000 disparus, un nombre très élevé de blessés et de personnes déplacées.
Après avoir imposé une guerre meurtrière et particulièrement « sale » au peuple algérien, les généraux putschistes qui détiennent le pouvoir réel à Alger, dont le président Abdelaziz Bouteflika n'est que le représentant diplomatique, désirent s'absoudre des crimes contre l'humanité perpétrés sous leur autorité effective, et effacer ceux de leurs anciens adversaires. En violation directe des engagements internationaux signés par l'Algérie et des principes fondamentaux du droit, cette politique d'oubli forcé est en soi un aveu éclatant de responsabilité.
Cette démarche inacceptable est clairement confortée et cautionnée par nombre de dirigeants des grandes démocraties occidentales. Motivés essentiellement par des considérations économiques, ils mettent en avant le « péril islamiste » pour justifier ce déni des valeurs universelles des droits humains.
L'autoamnistie des chefs de guerre a déjà été tentée ailleurs, notamment en Amérique latine, et partout elle a connu l'échec. Car nul ne peut disposer du pouvoir d'effacer l'histoire. Il ne peut y avoir de paix et de réconciliation sans vérité ni justice. Le peuple algérien connaît son histoire et aucune manœuvre ne peut effacer des crimes imprescriptibles. Vouloir lui imposer le silence par la menace est strictement illusoire.
Les femmes et les hommes à travers le monde épris de liberté, signataires de ce texte, rejettent cette loi d'un autre âge et appuient sans réserve la société algérienne dans sa marche vers la justice et les libertés.
Premiers signataires : Lahouari Addi (sociologue), Hocine Aït-Ahmed (président du Front des forces socialistes), Omar Benderra (économiste), Sihem Bensedrine (Conseil national pour les libertés en Tunisie), Anna Bozzo (historienne), François Gèze (éditeur), Burhan Ghalioun (politologue), Ghazi Hidouci (économiste), Alain Lipietz (député européen), Gustave Massiah (président du CRID), Salima Mellah (Algeria-Watch), Adolfo Perez Esquivel (Prix Nobel de la paix), Werner Ruf (politologue), Salah-Eddine Sidhoum (chirurgien).
Signatures (prénom, nom, profession, organisation le cas échéant, pays de résidence) à adresser à : impunite_non@algeria-watch.org
Cette pétition sera envoyée à la fin du mois d'avril à diverses institutions algériennes et internationales.
Signataires:
Saïd Ait Abdallah, conseiller technique France
Abdenour Abdelli, ex-membre du syndicat islamique du travailleur (sit)
Khelil Abdelmoumene, militant de la LADDH, Algérie
Noureddine Abdi, chercheur CNRS, Paris
Abdelhamid Achour, Sociologue, F.F.S, Algérie
Mohammed Abouchi, Ex-etudiant à l'uninersite de constantine, Algerie/setif
Ali Yahia Tarik Ben Mohammed Saïd Abrous, Publicitaire, Maroc
Nabila Adjlout, Secrétaire - Algérie
Mayouf Agoune, Tutor, UK
Salim Ahmed-Nacer
Jugurtha Aït-Ahmed, journaliste, Suisse
Mohand Cherif Aït-Ahmed, Admnistrateur, EX président d'APC de Tizi Ouzou
Karim Ait Aissi , Informaticien , coordinateur du Mouvement Humaniste en Algérie , militant du FFS
Belaid Ait Mohand , Éducateur, France
Larbi Alili, Scientifique, Tresorier de Justitia Universalis, La Haye, Pays Bas
Josette Ampilhac, membre de l'ACAT
Méziane Amrouche, technicien, France
Bernard Anclin
Souhila Anza Hafsa, étudiante en journalisme
Hachimi-Chemimi Arab, Gestionnaire, Militant du FFS et Défenseur des Droits de la Personne Humaine, Algérie
Samir Arezki ,étudiant de béjaia (2éme année),Algerie
Yahia Assam, Journaliste Reporter Image, France
Asamblea Permanente por los Derechos Humanos (A. P. D. H.), Argentina
Ahmed Assermouh, Architecte et Urbaniste, Maroc
Nordine Ath Messaoud, Etudiant
Brigitte Azema-Peyret, Avocat honoraire au barreau de Bordeaux
Lakhdar Azoug, Président de l'assemblée communale d'Amalou, wilaya de Béjaia - Algérie
Larbi Babou, Retraité - Algérie
Françoise Bage, Traductrice, Pays-Bas
Khaled Bahloul, Physicien, France
Djamel Bahloul, Secrétaire National à la jeunesse et au mouvement estudiantin du Front des Forces Socialistes - FFS - Algérie
Karim Baloul, Secrétaire National du FFS chargé des Relations Internationales, Algérie
Arezki Bantaleb, fonction medecin
Jean Yves Barrère, économiste , France
Abdelouahad Bassaid
Patrick Baudouin, Avocat, Président d'Honneur de la FIDH
Abdelbaset Bedrouni, Dipl. Ing., Deutschland
Mohamed Belhaoua, Défenseur des droits de l'homme, Relizane, Algérie
Rachid Belkacemi, Ingénieur - Algérie
Mohammed Belmejdoub, ancien détenu politique marocain
(1972-1982) et défenseur des droits de l'Homme
Zaïma Benachour - militante des droits de l'homme
Badis Benaicha, Universitaire
Rachid Benaissa, ancien Fonctionnaire International à l'UNESCO
Abdesslam Benali, Universitaire, France
Djamaledine Benchenouf, Journaliste
Yamina Benchohra-Sadarnac, membre udf, collectif justice et libertes présidente de l'ass:adac-athéna
Djoudi Benhacine, Auteur dramaturge amateur algérien, Allemagne
Tarek Ben Hiba, Conseiller Régional Ile-De-France "Alternative Citoyenne"
Azzedine Benissad, militant du FFS, Paris
Rabah Benlatreche, porte parole de la C.N.F.D rt président de l'A.F.D.F. Constatine
Titem Benneouala, Docteur en mathématiques, France
Ali Bensaad, géographe, Maître de Conférences, Université de Provence
Hamida Ben Sadia, Altenative Citoyenne, LDH
Mohamed Bensalem, Etudiant - Algérie
Arezki Bentaleb, médecin, élu FFS, militant des droits de la personne humaine, Algérie
R. Benyoucef, enseignant université , Défenseur des droits de l'homme, Algérie
Rachid Berchiche, Ingénieur -Algérie
Néstor Bercovich, Argentina
Ruth Bergan, humanitaire, UK
Abderrahmane Berkani, psychologue, France
Mohamed Bettache, P/APW de Béjaiai - Algérie
Ahmed Bettatache, Docteur en Droit - Cadre du Front des Forces Socialistes - FFS - Algérie
Mohamed Ouamer Bibi, Professeur Université - Algérie
Antoine Billiottet
Claude Billy, Magistrat, Chanonat
Virginie Bineau, Secrétaire générale, Eau Vive Montreuil, France
Naomi Blackwell, Legal Representative, Refugee Legal Centre, UK
Elisabeth Bonpain
Hassen Bouabdellah, Cinéaste, France
Smail Boubekeur, commerçant - Algérie
Ahmed Bouchaala , Cinéaste, Paris
Mme Bahdja Bouderbala, Secrétaire Nationale du FFS, chargée du mouvement associatif - Algérie
Peter Black, Member National Assembly for Wales, Welsh Assembly, Swansea, Wales
Laurent Bonnefoy, doctorant, Yémen
Ahmed Bouabdallah / enseignant-chercheur / France
Abdellah Bouguerra, Secrétaire National du FFS, chargé du mouvement syndical et du monde du travail - Algérie
Karim Boughida, Algeria Watch International, Los Angeles, CA USA
Mustapha Bouhadef, Universitaire et cadre du F.F.S.
Salim Bouheddou, Chomeur, FFS, Algérie
William Bourdon, Avocat, France
Houria Bouteldja, attachée commerciale, Paris
Hassene Bouzefrane, fiscaliste, Algérie
Idir Bouzefrane, expert comptable, Algérie
Mostafa Brahami, Dr. Economie
Abdelhamid Brahimi, Economiste, ancien Premier Ministre en Algérie
Djelloul Brahimi, Retraité - Algérie
Rabah Brahimi, Economiste - Algérie
Gill Branston, Senior Lecturer, Cardiff University Cardiff, Wales, UK
Jo Briant, Centre d'Information Inter-Peuples; France
Carol Brown, Artistic director, Swansea, Wales, UK
Sylvie Buterrbach, Chercheuse,SBASSG,Wales,Uk
Jorge Buzaglo, Profesor de economía, Argentina
Mirtha Calmanovici, Docente, Argentina residente en Santiago de Chile
Hugo Cañón, Fiscal General de Bahía Blanca (Argentina),
Presidente de la Comisión por la Memoria (Pcia. Buenos Aires. Argentina)
Catherine Casalegno , Professeur, Seyssinet-Pariset, France
Marie-Claire Caloz-Tschopp, enseignante, chercheur Universités de Genève et Lausanne
Irene Castillo, Socióloga, Presidenta del Grupo de Estudios Sociales,Argentina
Centre d'Information Inter-Peuples, Grenoble
Centro de Estudios Legales y Sociales (CELS), Ciudad de Buenos Aires - Argentina, www.cels.org.ar
Djamel Chafa, Ingénieur - Algérie
Aldjia Chaibi, Etudiante en Pharmacie - Algérie
Hakima Chaibi, Architecte - Algérie
Rachid Chaibi, Secrétaire National du FFS chargé de la gestion administrative , Algérie
Taoues Chaibi, Médecin - Algérie
Lyasmine Chaker, Étudiant, Québec, Canada
Abdelaziz Chambi, DiveCité, Lyon
Marie-Thérèse Chamot
Marie-Anne Chauzain, chargée de mission, Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie
Bénédicte Chavand, étudiante France
Dr Tom Cheesman, University of Wales Swansea / Wales / GB
Hocine Chellal, chef de département finance, militant du FFS, Bouira, Algérie
Noreddine Chelouti, citoyen algerien
Mouhieddine Cherbib, Militant du Comité pour le Respects et des Libertés en Tunisie
Assila Cherfi, graphiste, Algérie
Nadia Cherfi, Spécialiste en marketing - Algérie
Ahmed Cherifi, Secrétaire National du FFS, chargé des solidarités et des anciens du FFS , Algérie
Thomas Chiasson-LeBel, sociologue Montréal, Québec, Canada
Sofiane Chouiter, Avocat, Algérie
John Clayden, The Medical Foundation for the Care of
Victims of Torture, Swansea, Wales, UK
Collectif isérois de soutien aux réfugiés politiques algériens
Beatrice Collet, Responsable comptable, membre d'attac et syndicaliste, France
Comité des Parents des Personnes Enlevées ou Disparues au Liban
Catherine Coquio, Universitaire, Présidente de l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides
Henri Couturier, Rouen
Monique Crinon, sociologue, militante féministe, CEDETIM
Miguel A. Cruzado Monge, Bilbao, Espagne
Pierre-Yves Dacheux, membre LDH, Enseignant, Montpellier
Amina Daligand, Australia
Kamel Daoud, professeur de médecine, militant des droits de l'homme
Abdul Raouf Darwich, mathématicien
Rene Dassie, journaliste, paris france
Violaine Déan, étudiante, france
Iskander Debbache, Journaliste Algérien en exil
Olivier de Frouville, juriste (Paris)
François Della Sudda, membre du Bureau national de la Ligue des droits de l'Homme, membre du bureau du Collectif des familles de disparus en Algérie
Arielle Denis, Co-Présidente du Mouvement de la paix, France
Ouardia Derriche, Militante des droits humains, Bruxelles
Moussa Diaf, universitaire, Algérie
Mohamed Djebouri, Enseignant - Algérie
Ahmed Djeddai, Docteur - Cadre du Front des Forces Socialistes - FFS - Algérie
Idris Djelid, etudiant, Zurich, Suisse
Safia Rym Djellouli, Etudiante à l'école supérieure des beaux-arts
Mohamed Djelmami, Secrétaire National du FFS chargé des Droits de la Personne Humaine et du Maghreb - Algérie
Ahmed Djemili, Fonctionnaire - Algérie
Ghalia Djoudi, Documentaliste - Algérie
Hocine Djoudi, Anesthésiste - Algérie
Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des droits de l'Homme
Christian Dufrechou, France
Francine Duong
Michèle Durieux, 54 ans animatrice en pastorale, France
Yves Dutier, Consultant, France
Nacera Dutour, Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie, France
Irène Ekani , enseignante retraitée
Ali El Baz, coordinateur de l'association des travailleurs maghrebins de france (ATMF)
Anouar Nourdine Errida, Militant Associatif, France
ESPOIR, Association, Président : Bernard Rodenstein, Colmar
Karine Esteves, Chargée de mission SGDF, France
Mireille Fanon-Mendes-France, collaboratrice parlementaire, militante des droits humains
Yvette Fauchot, LDH, Evry
Sofiane Fellah, étudiant en commerce, France
Dr Kamel Eddine Fekhar, Medecin - Secrétaire National du FFS, chargé de l'anticipation et de la formation politiques - Algérie
Virginie Feuilloy, Cadre de Santé, France
Joanna Furber, Project Officer, Dylan Thomas Centre, Swansea, Wales
Omar Gaci, Elu APC - Algérie
Rachid Gaier, Melun, France
Sergio Garate, Chilean National Resident in the UK, Laboratory Technician
Vincent Genestet, Consultant, Cedetim, France
Axel Goldau, Journalist, Berlin - Deutschland
Roger Goldsmith, Royaume Uni, membre d'Amnesty International
Paula Gomez, psychologue, Algérie
Farid Gonzalves, commerçant
Narriman Latefa Guemar, syndicaliste , UK
Adel Soleiman Guémar, journaliste indépendant, Wales, UK
Abderrahmane Guerouaz, fonctionnaire, Bouira, Algérie
Abdelkader Hamadache, Retraité - ex Sénateur - Algérie
Boualem Hamadi, Peintre - Algérie
Joséphine Louise Hamani Auf Der Maur (professeur à Genève & Association vérité et justice en Algérie )
Mabrouk Hamani, commerçant à Genève
Mohamed Tahar Hamani, Ancien médecin militaire
Hassane Hamdane, Graphic Designer, UK
René Hamm, journaliste indépendant, Mittelbergheim (Alsace)
Lotfi Hammami, (pcot) parti communiste ouvrier de Tunisie
Dr Andrew Hammond, academic
Ahmed Hanifi , Formateur (Marseille)
Ferhat Hanoune, Président de l'assemblée communale de Béni Ksila, wilaya de Béjaia - Algérie
Ali Haouchine, politologue, Montreal
Mohamed Harbi, Historien algérien, France
Jean-Benoit Hardouin
El Alia Hassaine, prothésiste dentaire, france
Moussa Hannou
Omar Hebbache, algérien, Montreal Canada
Hassina Hemmache, Architecte - Cadre du Front des Forces Socialistes - FFS - Algérie
Claude Hénon, enseignante militante SUD Education, Le Havre (76)
Etienne Henry, sociologue DR Inrets
Hélène Henry, enseignante retraitée membre de la LDH
Abdelhamid Hihi
Helen Hintjens, Lecturer in Development and Social Justice, Institute of Social Studies, The Hague
Gasmi Hocine, Etudiant chercheur, universite de Nice-France
Pascal Holenweg, politologue, Genève
Sara Horchani, Etudiante, Militante associative et, Secrétaire aux droits humains du Parti Socialiste section de Dijon
Mohammed Houati, Ex- Président d'APC, Chlef, Algérie
Jane Hypher, medical social worker, Swansea, Wales,
UK
Mouloud Idir, Politologue, Université du Québec à Montréal
Said Igoudjil, cadre financier, Algérie
Mohand Ikhenoussene, Cadre Financier - Algérie
Ines Izaguirre, Profesora Consulta UBA - Miembro Directivo APDH
Instituto de Investigaciones "Gino Germani", Facultad de Ciencias Sociales, Buenos Aires, Argentina
Jean Marc Jacob, enseignant, Paris
Pierre Jacquemin, Retraité, Membre d'Amnesty International, France
François Jacquet
Maria Adela Jasnis , Investigadora de la Universidad de Buenos Aires, Argentina
Catherine Jennings, Irlande
Fathi Jerbi, Universitaire et membre du "collectif 18 octobre pour les droits et les libertés en Tunisie
Kamil Jilali, étudiant
M.Riskær Jørgensen, Member of Amnesty of International, Denmark
Rosemary Jones, self-employed,Wales, Uk
Ahmed Kaci, Journaliste
Boualem Kaci, retraite, Bejaia Algerie
Hassina Kaci, Retraitee, Algerie
Mehdi Kaci, Department of International Relations San Francisco State University CA, USA
Abdelhafid Kasri, Secrétaire National du FFS chargé des élus - Algérie
Bouzid Kassa, Fonctionnaire
Youghourta Kebbous, Sociopedagogue Barcelone (Espagne)
Shanez Kechroud, Specialiste en communication
Halim Kemmoum, informaticien, Constantine algerie
Ahcène Kerkadi, élu FIS, Lausanne
Mehdi Kerri, étudiant, Algérie
Jeanne Kervyn, Sociologue, Belgique
Meziane Kettou
Amine Khalfi
Léon Kharomon, Journaliste réfugié en France
Zahir Khelifi, enseignant formateur en photographie; Tizi-Ouzou, Algérie
Kamer edine Kherbane, Membre fondateur du Front Islamique du Salut
Akli Khoudi, Ingénieur - Algérie
Mourad Krinah, Etudiant, Algérie
Azedine Lagha, Etudiant
Lyes Lakhal, Chercheur, France
Ali Laskri, Premier Secrétaire du Front des Forces Socialistes - FFS - Algérie
Thierry Le Bars, professeur à la Faculté de droit de Caen (France)
Sara Lebbad, graphiste, Algérie
Hélène Lécot, Journaliste- Paris, France
Mehdi Lebid, étudiant, Algérie
Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire, France
Ali Lemdani, Enseignant - Algérie
Madjid Lemdani, Secrétaire National du FFS à la politique financière - Algérie
Jean-François Lepez, retraité
Mohamed Limani, Enseignement - Algérie
Tahar Lounes, Enseignant, France
Hakim Lourari, membre du conseil national du ffs federation de setif
Nicole Louvest, France
Adriana de Lucio, politólga, Argentina
Salah Mahammed, fonctionnaine de la santé - Algérie
Georges Maire
Jean-François Malesset, Marseille
Hocine Malti, expert pétrolier
Kamel Mammar, Fonctionnaire - Syndicaliste - Algérie
Djoudi Mammeri, Ingénieur en Génie Civil - Sénateur - Algérie
Ahmed Manaï, directeur de l'Institut Tunisien des Relations Internationales
Elsa Manghi, chargée projets associatifs
Catherine Marguin, militante droits humains, Lyon, France
Marie Marin, membre de la LDH, France
Mohamed Mazouki, étudiant
Medjnoun Mecipca, Fonctionnaire, Montréal,Canada
Yahia Medani, Avocat - délégué auprès du Premier Secrétaire du FFS, chargé du suivi des affaires Judiciaires - Algérie
Foued Medjabri, technicien
Chérif Medjaoui, Architecte, Alger
Hakim Mehenni, ph.D student, National Institute of Scientific Research (INRS-emt)
Rabah Meksem, syndicaliste Membre de la direction du Satef.- Algérie
Hanafi Merabet, commercant, zoui khenchela , Algérie
Jamel Merabet, citoyen algérien
Rachid Mesli, Avocat (Genève)
Belkacem Messaoudi, vice président APW de Bouira - Algérie
Rashid Messaoudi, journaliste, UK
Raphaël Messara, Contrôleur de gestion, France
Fabienne Messica, LDH, cedetim
Mira Meziane, informaticienne, Algérie
Youcef Mimouni, Ingénieur en Environnement - militant du Front des Forces socialistes - FFS - Algérie
Tobias Mörike, Landesvorsitzender Jusos Brandenburg, Sprecher des Arbeitskreis Nahost Jusos, Deutschland
Mustapha Mokdad, militant du FFS, Marseille, France
Khaled Mokhtari, Syndicaliste, Algérie
Rym Mokhtari, étudiante et graphiste, Algérie
Khaled Mokrani, Professeur - Algérie
Mehdi Mosbah, Réfugié politique, victime de la torture en Algérie
Alain Mot, Membre Amnesty International, France
Rezzoug Moussoum, enseignant universitaire - Algerie
M. Martial Mouqueron, Militant associatif, politique et syndical
Mounir Mrabet, étudiant, Algérie
Corinna Mullin, PhD candidate, London School of Economics
Anastasie Mutoka, Journaliste réfugiée en France, Vice-présidente de l' Association des journalistes Réfugiés en France
Karim Naar, étudiant , Pologne
Djamel Nacer, Opérateur, FFS, Algérie
Elisabeth Nadiras, LDH Toulon
Dr Rabah Nait Abdellah, Ophtalmolgue - élu FFS au sein de l'APW d'Alger - Algérie
Corinne Nativel
Mohamed Nebbou, Secrétaire National du FFS, chargé du suivi des fédérations - Algérie
Youcef Nedjadi, physicien
Dr Kalypso Nicolaïdis, University Lecturer in International Relations,
European Studies Centre, University of Oxford
Dimitri Nicolaïdis, enseignant
Stylanos Nicolaidis
Jo Falk Nielsen, Journalist, Denmark
Sadhbh O'Dwyer, redactrice, Swansea, UK
Enrique Oteiza, Profesor titular Facultad de Ciencias Sociales; Universidad de Buenos Aires, Investigador de Instituto de Investigaciones Sociales Gino Germani, de dicha Facultad Buenos Arires, Argentina
Linda Ouacel, citoyenne Algérienne - militante FFS - Algérie
Farida Ouaghlissi, Militante, épouse d'un disparu, Algérie
Mekki Ouahrani, Militant du FFS ; Etudiant en siences économiques, Algérie
Mourad Ouchichi, Algérien, Etudiant à L'Institut des Etudes Politiques (IEP) de LYON France
Moha Ouhssain Arehal, Ingénieur, Chroniqueur, Maroc
Ouahmi Ould-Braham, Chercheur (Paris)
Myriam Ounesli, travailleuse sociale, Rouen (seine-Maritime), France
Youcef Ouremdane, Enseignant, FFS, Algérie
Dr Boualem Ouzriat, membre du conseil national du ffs , médecin inspecteur , Alger
Bruno Palluat, ACAT, France
Marion Péchayre
Jean-Marie Penet, Documentaliste, France
Evelyne Peter, gougenheim
Jean-Pierre Peter, gougenheim
Monique Poncin , retraitée, membre Amnesty international, Belgique
Sonia Pradine, juriste, Marseille
Fabienne Prost, animatrice radio
Asim Qureshi, Lawyer, Cageprisoners, United Kingdom
Amar Rahem, Doctorant, Suède
Aissa Rahmoune, étudiant, militant du FFS, Algérie
Salem Rassoul , Avocat et étudiant, Paris
Dr. Horacio Ravenna, Covicepresidente, Comisión de Relaciones Internacionales, Argentina
Anne Reaney, social worker, Swansea, Wales, UK
J Reinhardt,
Wilfried Repesse, Animateur social, France
Francois Ribac, compositeur, France
Stuart Rice, Uplands ward Councillor, Uplands, Wales, UK
Amanda Richardson, Documentary Producer, London, UK
G. Richerd, Membre ACAT-France
Patrick Rizat-Sibourd, Ecrivain / France
Marguerite Rollinde, université Paris 8/Saint Denis
Christophe Rolot, Etudiant, France
Keith M Ross; Caseworker; Asylum Justice; Swansea, Wales
Brahim Rouabah
Urs Peter Ruf, consultant, Germany
Fadhila Sadaoui, styliste en bijoux
Hadjou Saddek, Militant associatif
Youcef Sahli, avocat , militant du FFS, Algerie
Brahim Sahnoune, citoyen Algerien
Hadj Aissa Saidat, Enseignant universitaire, Mostaganem, Algérie
Brahim Saiss, Bibliothécaire à l'Université Paris VIII à Saint Denis
Boudjemaa Salem, Universitaire - Algérie
Julien Salemkour
Mohammed Samraoui, ex-colonel du DRS dissident
Miguel Angel Sandoval Vasquez , Sociologo y periodista, exnegociador del proceso de paz en Guatemala
Khaled Satour, universitaire
Ibrahim Sendussi, Consultant International
Leila Sendussi, Administration Assistante
Omar S'habou, Directeur de l'Hebdomadaire "Le Maghreb", Tunisie
Abderrahmane Amine Sidhoum, avocat et millitant des droits de la personne, Algérie
Hanafi Si Larbi, Militant du FFS Algerie
Ahmad Simozrag, avocat algérien
Mourad Slimani, Ingénieur Projet
Mohamed Smain, membre du comité Directeur de la LADDH, Algérie
Habib Souaidia, ex-officier des forces spéciale de l'armée algérienne et auteur du livre "la sale guerre"
Nesta Steffens, Human rights activist, Swansea, Wales
Silke Studzinsky, avocate, Berlin
Hakim Tabbou, sans profession - Algérie
Karim Tabbou, Porte parole du Front des Forces Socialistes - FFS - Algérie
Abdenour Tafoukt, Pharmacien, FFS, Algérie
Omar Takabeit, Président de l'assemblée communale de Kendira, wilaya de Béjaia - Algérie
Ahsène Taleb, enseignant, France
Dalila Taleb, responsable de l'association Génération Citoyenne - Algérie Membre du Conseil National du FFS
Khaled Tazaghart, Professeur de l'enseignement secondaire - Algérie
Marilyn Thomas, Secretary Swansea Bay Asylum Seekers Support Group, Swansea, UK
Rhodri Thomas, Plaid Cymru/Wales AM. UK
Abdelkader Tigha, officier algérien dissident
Ouahiba Touati, Secrétaire Nationale du FFS à la condition féminine, Algérie
Touhardji
Mohamed Tselkim, Ingénieur
Stéphanie Tutin, Professeur, France
Dr. Fernando O. Ulloa, Profesor Honorario - Universidad de Buenos Aires
Jeadette Vaillant , professeur , LDH France
Otilia Vainstock, chercheure, Argentine
Michel Valadier
Armand Veilleux, moine, Belgique
Horacio Verbitsky, Escritor, Argentina
Anne-Sophie Vivier, Intern for the Middle East and North Africa Program, International Center for Transitional Justice
Bernhard Völk, Deutschland
Jeni Williams, University Lecturer in Literature and Art History, Swansea
Chokri Yacoub, Président du Forum Tuniso-Suisse des Libertés, Lausanne / Suisse
Idris Yahyaoui, Magistère en Génie chimique, FFS, ALGERIE
Mustapha Yessad, délégué chargé de l'évaluation et du suivi auprès du Premier Secrétaire du FFS , Algérie
Mourad Youcef, ingenieur, membre du fis, Allemagne
Mohd Yousef, Medical Doctor, SWARM, Qatar
Abdelkrim (Karim) Yousfi, militant des droits de l'homme, France
Zoulikha Zaidi, Cymru Refugees and Asylum Seekers Academic Council, Britain
Miloud Zehraoui, architecte, France
Dr. Rachid Ziani-Cherif, Elu aux elections de decembre 1991 pour la wilaya de S.B.A sur les listes du F.I.S
Stefanie Zietlow, étudiante, France
Mourad Zirari, Ingénieur, Paris
Mohamed-Larbi Zitout, ex-diplomat
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Sudoku – règles du jeu
Neuf grilles de neuf cases chacune forment un carré de 81 cases. Le but du jeu est de remplir les cases avec des chiffres de 1 à 9, en s’aidant des quelques chiffres déjà disposés dans la grille.
La règle du jeu est simple : les chiffres doivent être disposés de sorte que chacun n’apparaisse qu’une fois sur une même ligne, une même colonne et une même grille de neuf cases. Formulé autrement, chaque grille de neuf cases doit contenir tous les chiffres de 1 à 9.
Il existe plusieurs niveaux de difficulté, déterminés en fonction du nombre de chiffres déjà disposés dans une grille : généralement, moins il y a de chiffres au départ, plus le niveau de difficulté est élevé.
Voir aussi l'historique du jeu, en discuter sur le forum et jouer au sudoku.
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