• "Nous sommes une rivière qui a grandi". Celui là aussi, ces ouvriers sont très fiers de le porter.

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  • Les observateurs internationaux ont pu très librement parler avec qui ils voulaient, contrôler ce qu'ils voulaient. Force a été de constater le caractère exceptionnellement transparent du scrutin. Je fais partie d'un groupe envoyé à Maracay, capitale de l'état d'Aragua, à 2 heures de route à l'ouest de Caracas. Maracay vote à gauche. Le 3 décembre, tôt le matin, premier choc culturel: des centaines de personnes faisant la queue (la cola) pour voter; certains sont là depuis le milieu de la nuit, avec leurs sièges pliants, leurs casse croûte, leurs enfants.

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  • Les petits marchands d'"arepas", de boissons, de glaces, pullulent, profitant de l'aubaine, comme ces jeunes vendeurs de glace.

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  • Et tout ce monde, tranquille, déterminé. A nos questions étonnées, ils répondent: il faut voter, c'est l'avenir du pays, celui de nos enfants; et il faut que le Président reste. Discussions passionnées, puisque qu'il n'y a bien sûr pas que des chavistes dans les queues.
    Cette femme prend à témoin les observateurs.

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  • Dans les quartiers les plus populaires de Maracay, il y a jusqu'à 85% de votants, avec des scores écrasants pour Chavez. Le vieux José est fier de me montrer sa carte des cercles bolivariens. Il ne doute pas un instant de la victoire. Pour lui c'est un vote de classe, le peuple ne se laissera pas faire. La suite lui donnera raison.

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