[Désolé de ne pouvoir être aussi réactif que vous, mais je ne peux pas faire partir de comm. : les « proprio-gestionnaires de mon pas de tir » ont fait du trop bon ou mauvais travail ! Ou alors, ce sont les tuyaux qui sont trop étroits ! Donc, je vous envoie comme je peux mes comm., bien sûr moins réactifs mais la réflexion a aussi ses avantages. Quoique, parfois, ça fonctionne ! Pourquoi ? Comment ? Va savoir ! Mystère ! ]

Bonjour à toutes et à tous,

Eh bèh ! Z'ètes fous, tous ! Qu'es-ce-qui vous a pris ? M'avez laissé huit comm. (http://www.blogg.org/blog-15857-date-2005-08-01-billet-190959.html) en réaction à mon billet de lundi soir. Un record depuis mon premier billet publié le 1^er mars (tiens, à la rentrée, faudra que j'en actualise l'idée qu'il contient ; j'ai évolué depuis, surtout hier). En tout cas, je vous en remercie. Car j'étais entré dans une période de doute, depuis quelques temps (comment ça, Ittou sensible ?). D'où, parfois, des écrits un zeste provocant et sans vouloir blesser mais pas forcément perçus ainsi ; ah, la froideur de l'écrit ! Bon, bref.

Nikoo, j'aime bien quand on me fait plaisir (rire) !

Tschok, tu ne leur demandes donc pas une pièce d'identité, à ces femmes ? Tu ne craints donc pas qu'elles te violent ?

Eva, j'comprends mieux pourquoi j'pouvais toujours l'cherché, c'billet. Et j'avais aussi identifié Enkely dès jeudi dernier. Ben oui, j'me gargarise devant vous tous mais j'crache dans le récipent prévu à cet effet. Alors, comment ça, tu ne me lis pas tous les soirs où je postent ?

Tim, ça coince quelque part ? La gorge, peut-être ?

Merci Nuage.

Nikoo (http://www.blogg.org/blog-22544-date-2005-08-01-billet-190957.html), des noms, des noms...

Nikoo (http://www.blogg.org/blog-22544-date-2005-08-02-billet-191183.html), t'as du talent, dis donc. Si, sans dek.. Ce fut un plaisir. Moi qui pensais que les fonctionnaires ne connaissaient que le langage administratif... Chuis con parfois, non ? Allez, (demi)clin d'œil à moi-même !

Euh, là, Nikoo (http://www.blogg.org/blog-22544-date-2005-08-02-billet-191307.html), j'avoue avoir lu trois fois ton billet pour envisager un début de compréhesion. Et mon Robert m'y a un peu aidé, très peu. Que n'ai-je point compris ? Autogyre, dis-tu. Bon, mon Robert à moi me parle d'autogire, pas d'autogyre. Mais il est vieux, le pauvre ! Il a onze ans. Et pour un Robert, onze ans, c'est onze fois trop vieux. Alors, j‘ai imaginé. S'agirait-il d'un jouet pour enfant ? Tu sais, cette hélice de plastique qui prend son envol dès qu'une main tire la manette. Non, peut pas être ça, me suis-je dis. Sinon Nikoo ne dirait pas qu'il était là « Fièrement incorporé dans la vitre, faisant corps avec elle ». Quoique... Te lisant régulièrement, je te sais pleine d'imagination, imagination fertile. Mais j'ai élliminé le jouet pour enfant. Comme j'ai aussi élliminé l'idée que ce soit le fruit hélicoïdal tombé d'un arbre dont j'ai oublié les noms (le fruit en question et l'arbre concerné) depuis la fin de l'année scolaire pendant laquelle mes neurones avaient été obligés de se farcir ce vocabulaire-là. Elliminé pour la même raison que le jouet. Et puis, la reflexion murissant, je pense avoir compris. Ne s'agirait-il pas de la petite lucarne ronde incoporée à la vitre et munie d'ailettes laissant la possibilité à l'air intérieur et extérieur de circuler librement permettant ainsi de faire disparaître la « buée post-douche » « qui pourtant, sur la glace trônant au-dessus du lavabo, m'arrangerait aisément certains matins » ? Ai-je juste ? Nikoo, si tu ne vois ton reflet dans ton miroir, à qui vas-tu poser alors cette question féminine existentielle : « Miroir, mon beau miroir ! Suis-je toujours la plus belle » ?