Les poils sous les bras, ne sont pas un sujet tabou, juste un sujet passé sous silence. Peut-on encore croire qu'il s'agit juste de desinteret quand tous les media evitent au maximum les allusions à ce sujet? La publicité qui pourtant ose, là où les autres se cachent n'a rien fait à propos des poils sous les bras, pas de rasoir profilé pour eux, pas d'anti-transpirant-poils-sous-les-bras-friendly, pas de coiffeur de poils sous les bras. Les humoristes , autres grands provocateurs, n'ont jamais dépassés le stade de l'hyper-pilosité de dessous de bras, rien, ou très peu, sur l'odeur, rien sur l'utilisation sexuel. Pire, la biologie ignore royalement le sujet, l'encyclopédie en ligne "wikipedia" ne lui accorde aucun article. La version anglaise de l'encyclopédie presente un article court qui se conclu par "pas assez de ressources sur ce sujet". La sociologie, raporte juste qu'il est courant de raser ces poils et que l'islam considere cette pilosité comme disgratieuse. Aucune recherches médicales à ce propos. On suppose juste, que ces poils servent, peut-être, à faciliter le mouvement des bras, et peut-être à fixer les phéromones utilisées dans l'attraction sexuel. Aucunes preuves, aucunes études. Rien.

Pourtant! Pourtant, il s'agit du phénomène pilleux le plus original, le plus mysterieux, et sans doute le plus significatif quant au comportement de l'espece humaine. Nous avons là, une concentration de poils à une place protégé du soleil (plus que tout autre partie du corps) , en un lieu de friction qui devrait naturellement prevenir toute "pousse" de poils. Contrairement à la barbe, au pubis, et au reste du corps où ils ont une fonction protectrice évidente, ces poils n'ont aucune raison d'être là. Galilé dirait : "et pourtant ils sont là!".
Voila, un systeme pilleux, qui est étroitment lié à la transpiration et donc à la survie du corps aux températures extremes. Un systeme qui se rattache aux mécanismes de séduction, et donc à la survie de l'espece. Un systeme qui est un de nos rare héritage animal, et personne ne sait vraiment à quoi ca sert, et pourquoi apres une évolution de 50 000 ans nous continuons a en avoir!

Je deteste les théories du complot, qui peuvent s'appliquer à n'importe quoi. Mais en l'occurence, le silence total des chercheurs sur la pilosité des dessous de bras, fait peur. Quels est la réalité des découverte à ce sujet? Ne sommes nous pas en présence d'une nouvelle arme bactériologique uttilisé par les GI, en Irak au liban et en belgique pour annihiler l'opposition militaire? Et surtout, surtout, quels rapports ont les poils sous les bras, avec les aliens!

La réalité sans doute doit être bien pire que tout ce que l'on peut imaginer. Pourtant certains indices nous mettent sur la voie de la véritable utilité des poils sous les bras. Posons-nous la question de savoir à qui profite le crime? Qui a interêt à taire les découvertes concernant cette pilosité. Certainement pas les chercheurs, pour qui une étude d'un sujet aussi lié à la sexualité serait du pain bénit pour leur célébrité. Ni aux entreprises  de dépilation ou d'anti-transpirant, ou de shampoing, qui pourraient facilement utiliser n'importe quels résultats sur le sujet pour vendre leur merdes. On peut suspecter le gouvernement d'utiliser ses services d'espionages, pour faire taire toute recherche sur les poils sous les bras. Mais vous conviendrez avec moi que ce serait disproportionné. "James Bond: l'espion qui suait", "Notre agent met du Axe Man", "Aisselles Rouges".. ne sont pas des titres crédibles de romans d'espionnages.

La réalité est sans doute, que chacun de nous, sait inconsciemment qu'il faut en reveler le moins possible sur les poils sous les bras. Ainsi dès qu'un universitaire tente de commencer une thèse sur ce sujet passionnant, il s'auto-censure. Car au fond de lui, il sait que si la vérité est revelée au public ce sera la fin de l'humanité tel que nous la connaissons, et le début du CHAOS!
De même chacun de nous prefere directement raser le probleme à la base, ou l'ignorer royalement. Nous sommes en presence d'un refoulement tellement admis, tellement général, que la psychanalyse n'a même pas tenté d'effleurer le sujet. Que se passerait-il si on savait réellement à quoi sert cette pilosité? Sans doute, cela bousculerait tellement notre ego, que nous sombrerions dans la folie clinique. Quels liens a cette pilosité avec la noosphère? L'accumulation de phéromones sous les bras est-elle liée au réchauffement climatique? Sont-ce des recepteurs ultra pointus qui permettent de communiquer avec l'espace et avec dieu? Pourquoi cette odeur?

Ces questions, un homme se les est posées, sincerement, sans se cacher, en toute honeteté intellectuel. Cet homme, un chercheur du CNRS décrié par ses collegues, a subitement cessé son étude en 1998 pour entrer dans un monastere tibetain, où actuellement il a fait voeu de silence et se contente de tourner les moulins à priere à 6500 mêtres d'altitude sur le site de Tashilimpo. Sa derniere phrase que l'histoire a enregistré serait celle qu'il a prononcé avant son atterrissage à Gongar " Puis-je me lever, je dois aller aux toilettes"